Portrait Alain Bernard, accélérateur de transformation …partenaires craignent de se faire dépouiller de leur business mais CSP s’est, au contraire, révélé un véritable catalyseur du cloud pour le channel. « Nous avons été exigeants avec nos partenaires pour les inciter à se transformer, mais c’était indispensable s’ils voulaient nous suivre. » Mais en contrepartie des efforts demandés au channel, d’Alain Bernard insiste sur les gros moyens d’accompagnement mis en place par Microsoft. Plus de 30 % de ses équipes constituent des ressources techniques aidant les partenaires – et là encore de gros efforts sont accomplis envers Azure. Les distributeurs, que Microsoft nomme solutions agregators commencent à s’approprier ce modèle et Azure devient une plate-forme stratégique pour eux. « L’intérêt des offres Azure réside aussi dans de la firme de Redmond évolue aussi dans cette de recrues qualifiées, et c’est aussi un des éléments la possibilité de vendre de nombreux produits direction. « Les deux tiers de nos incentives portent sur lesquels nous travaillons. Dans cette optique, et solutions autour. C’est le sens de notre stratégie sur le cloud, mais dans l’avenir, ce sera 100 %. Nous nous avons inauguré l’école de l’IA, car les grandes appelé Sell-With qui consiste, pour nos partenaires, sommes exigeants sur les niveaux de certification écoles et universités ne proposent pas assez à combiner leurs offres aux nôtres. Plus on vend mais le revendeur y trouvera des bénéfices. » de cursus adaptés à ces secteurs qui représentent dans Azure, plus la consommation et les revenus l’avenir. » La typologie de partenaires change augmentent – et surtout surle long terme. » Concerné par la formation et les start-up aussi et la structure One Channel Partner Un discours d’autant plus confortable à tenir Des certifications indispensables car la France qu’Alain Bernard dirige est l’illustration devant le channel que Microsoft s’apprête accuse un gros déficit de savoirs dans ce d’une plus grande diversité. Cela se retrouve à ouvrir plusieurs data centers dans l’Hexagone, domaine, et les clients finaux ont même aussi au niveau de l’implication de Microsoft supprimant les appréhensions des entreprises tendance à débaucher chez leurs revendeurs auprès des start-up avec ses programmes quant à la localisation de leurs données liées des spécialistes de secteurs clés comme le cloud, BizPark et BizPark Plus, ou le rapprochement à Office 365 ou Azure. Le programme Partenaires le big data ou l’intelligence artificielle. « On manque avec l’incubateur Station F de Xavier Niel. « Nous avons suivi quelque 3 500 start-up tout au long de ces dix dernières années, et notre objectif est d’en accueillir dans notre écosystème de partenaires. Beaucoup de clients vont à la rencontre des start-up plutôt que des revendeurs traditionnels. Le monde se tourne vers les services, et il faut se demander ce qu’on sera capables de vendre demain », conclut Alain Bernard. ■ J’aime… C INÉMA : surtout les thrillers, polars et les films de science-fiction. Les frères Cohen, Ryan Gosling et Leonardo Di Caprio. L ITTÉRATURE :polars et biographies L IEUX : la montagneet l’hiver me ressourcent S PORTS ET LOISIRS : le football – fan du PSG – et leski, le cinéma pour les loisirs Q UALITÉS QUE J’APPRÉCIE : courage et conviction, honnêteté et humilité 20 E.D.I N°76 | mars 2018