Le télétravail augmente les coûts d’impression
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Dans sa nouvelle étude, Epson constate que les entreprises ont dépensé plus autour des solutions d’impression depuis un an, alors que leurs équipes opéraient à distance.
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Moins de personnes au bureau n’abaisse pas les coûts d’impression. C’est ce que montre une étude menée auprès de 3 000 personnes en EMEA, par le cabinet Coleman Parks pour Epson. Elle pose le paradoxe : 45 % des décideurs informatiques ont signalé une baisse des volumes d'impression au cours des 12 ou 18 derniers mois, alors que 89 % ont constaté une hausse des coûts. La raison ? Avec l’explosion du travail hybride, les équipes ont acquis des imprimantes et des consommables pour leur domicile, dont la gestion incombe aux équipes IT des entreprises. Et des sommes considérables sont ainsi dépensées en cartouches d'encre, puisque 70 % des répondants indiquent que leurs nouveaux appareils viennent du segment B2C. Ainsi, la gestion du volume de multiples marques augmente la pression de 37 % des responsables informatiques, puisque des questions de sécurité, de responsabilité des biens et de maintenance supplémentaires sont à prendre en compte.
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Le développement durable au second plan ?
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Donc moins de personnes au bureau implique davantage de matériel d’impression. Et le volet écologique ? Les répondants avouent, pour moitié, ne pas donner la priorité aux enjeux de durabilité tout en gérant les défis des dernières années. Cependant, plus 60 % pensent que le travail hybride et la crise sanitaire auront, à terme, un impact positif sur les habitudes d’impression. « S'adapter pour mieux soutenir la main-d'œuvre ne doit pas être un casse-tête, mais peut aider les entreprises à se remettre sur la voie des objectifs de durabilité », ajoute Olivier Hanczyk, chef de produits solutions d’impression professionnelles et solutions logicielles d’Epson France.
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Syage recrute pour soutenir sa croissance
Avec 15 % de progression en 2021, pour un C.A. de 9,5 M€, Syage cherche encore à grandir. Composée d’une équipe de 35 personnes, l’ESN a ouvert une dizaine de postes d’expertise réseaux et sécurité, d’ingénierie d’affaires et d’administration stockage, en CDI ou stage, à Aix-en-Provence ou Paris. « Cette solidité et cette croissance continue, nous offrent de réelles possibilités d’évolution à proposer à nos collaborateurs, et ainsi de consolider notre équipe, comme notre projet long terme », explique Jérôme Garzulino, directeur de Syage.
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CommScope étend son programme Partenaires à trois niveaux
Entré en vigueur le 1er avril 2022, le programme Ruckus Big Dogs de CommScope se compose de trois niveaux : Registered, Certified et Elite. L’équipementier souhaite ainsi affiner les récompenses, incitations, formations, et rationaliser la gestion des contrats. « Les partenaires Elite auront accès à une formation technique améliorée qui portera sur le WiFi, la commutation, l'IoT, la gestion du cloud et l'AIOps », indique Eric Law, VP des ventes Ruckus chez CommScope. Des moyens de se spécialiser, des outils marketing (dont un service de conciergerie marketing à venir) et une offre VIP pour gagner des remises sur une base récurrente sont aussi accessibles.
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MSI glisse les GeForce RTX 3090 Ti de Nvidia dans ses SUPRIM
En intégrant le dernier GPU GeForce RTX 3090 Ti de Nvidia à ses cartes graphiques, MSI se targue d’offrir des performances encore meilleures aux joueurs, son cœur de cible, mais aussi aux créateurs de contenus et data scientists. Le processeur de Nvidia embarque en effet 10 752 cœurs CUDA, 24 Go de mémoire GDDR6X qui délivrent jusqu’à 1 To/s de bande passante mémoire. Les SUPRIM sont les cartes MSI les plus performantes, avec des pointes entre 1 950 et 1 965 MHz en mode Boost. Elles sont équipées du système de refroidissement propriétaire TRI FROZR 2S. MSI les commercialise à partir de 1 903,20 € HT.
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Un dashboard anti-ransomware dans le Cloud Manager de Netapp
NetApp poursuit la mise à jour de son Cloud Manager et y intègre un tableau de bord dédié à la cyberrésilience. Dédié à la protection contre le ransomware, ce dashboard permet notamment d’identifier les risques de sécurité dans tout environnement de travail. Les équipes IT disposeront de recommandations pour améliorer la sécurité, fondées sur le machine learning. Outre la réponse automatique aux menaces, l’outil cartographie et classe les données les plus sensibles et critiques, gère les autorisations d’accès, etc.
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Marc Le Roy, Avaya France
« Nous recrutons des agents commerciaux »
À l’occasion du salon Stratégie Clients, qui se tenait à la Porte de Versailles, à Paris, du 29 au 31 mars 2022, nous avons rencontré Marc Le Roy, directeur channel d’Avaya en France. Il est notamment revenu sur le partenariat de l’éditeur avec Alcatel-Lucent Enterprise.
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Fin 2021, vous avez lancé un modèle d’apporteur d’affaires que vous avez proposé à votre réseau channel, pouvez-vous nous l’expliquer ?
Depuis quelques années, Avaya a passé ses offres historiques en mode hébergé. Donc dans ce modèle, les partenaires fonctionnent comme des agents commerciaux, et Avaya contractualise directement avec le client. Avec la souscription, les clients peuvent changer de solution à tout moment, donc il faut suivre en permanence leurs usages, les informer des nouvelles fonctionnalités, etc. C’est pour cela que les partenaires perçoivent une commission pendant toute la durée de vie du contrat, pour maintenir le lien du client avec nos solutions. Mais là aussi, ces partenaires peuvent apporter des services supplémentaires.
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Avaya noue un partenariat avec Alcatel-Lucent Enterprise (ALE). Pouvez-vous nous en dire plus ? Globalement on assiste à une convergence des technologies de fournisseurs parfois concurrents, comment expliquez-vous ce phénomène ?
Grâce à ce partenariat, ALE commercialise l’offre Avaya One cloud CCaaS. En échange, nous proposerons la partie infrastructure réseau d’ALE. Oui, nous sommes concurrents sur certaines offres mais cela n’empêche pas de trouver des points communs. Nous l’avons fait aussi avec RingCentral ou Microsoft, avec lequel nous sommes en compétition sur Teams, alors que nous avons des connecteurs avec Dynamics pour notre offre de centres d’appels. Une tendance qui se confirme, c’est l’intérêt du client qui primera, s’il voit un avantage à ce que deux constructeurs parlent ensemble.
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Comment se compose votre écosystème en France, et quels sont vos objectifs ?
Nous comptons une centaine de partenaires actifs en France. Et sommes, bien sûr, toujours en recrutement, avec un focus justement sur les agents commerciaux, pour accompagner nos ventes cloud, que ce soit dans les communications unifiées ou les centres d’appels. Un autre objectif sera donc d’accompagner les 3 000 partenaires d’Alcatel, pour leur présenter nos solutions et en faire, in fine, des partenaires Avaya. Le partenariat étant encore frais, nous aurons sûrement plus de détails d’ici quelques mois sur la façon dont nos écosystèmes respectifs accèderont à l’offre de chaque société.
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Antoine Euvrard nommé Cloud Alliance Manager Europe du sud de Rubrik. Il animera la relation de l’éditeur cyber avec les acteurs principaux du cloud public pour suivre les projets de migration de leurs clients communs. M. Euvrard arrive de Seven Island, cabinet de recrutement, qu’il présidait.
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Clément Favier officialisé directeur adjoint de Quodagis Digital Security. À ce poste, il devra accélérer le développement de l’activité cybersécurité de l’ESN. M. Favier sera notamment chargé de soutenir la création d’offres liées au SOC, à l’EDR et à la gestion de vulnérabilités.
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Ninon Le Meur promue directrice des opérations de Stratosfair. Son rôle sera de structurer et déployer le modèle de réseau de data centers locaux pour les TPE PME, propre à l’entreprise bretonne, au niveau national. Elle devra aussi optimiser les processus internes de Stratosfair.
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Gunjan Aggarwal prend la direction générale des ressources humaines de Confluent. L'acquisition et le développement des talents, l'efficacité de l'organisation, la promotion d’une culture d’entreprise inclusive seront ses trois missions principales. Madame Aggarwal arrive de RingCentral.
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