L’économie circulaire s’inscrit dans l’approvisionnement IT des organisations publiques
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Les produits IT figurent sur la liste du décret ministériel qui oblige le secteur public à réserver une partie de ses achats de matériels en tout genre à des biens issus de l’économie circulaire.
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Depuis le 9 mars 2021, l’État, les collectivités et groupements de collectivités territoriales ont l’obligation d’inclure dans leurs achats de matériels, des biens issus du réemploi ou de la réutilisation ou intégrant des matières recyclées. Dix-sept catégories de produits sont concernées, des vêtements professionnels aux bâtiments préfabriqués. Le décret fixe, pour chaque catégorie de produit, une proportion minimale de produits reconditionnés ou conçus avec du matériel recyclé à respecter. Pour tous les produits IT et bureautiques mentionnés ci-dessous, ce taux est fixé à 20 % des achats.
L’Ugap, principal distributeur des acteurs du service public, propose depuis plus de six ans des téléphones fixes reconditionnés, et a ouvert un marché pour la téléphonie mobile et les accessoires reconditionnés en 2020. « Pour répondre à la nouvelle législation, des marchés pilotes seront ouverts notamment autour des écrans et PC portables, nous indique le département Politiques publiques de la centrale d’achat. Ce qui est intéressant, c’est que les marchés évoluent, de nouveaux acteurs vont apparaître. C’est certainement un levier pour les Esat [établissements et services d'aide par le travail], par exemple. » Et il est vrai que les acteurs se positionnent. En témoigne l’offre lancée par Recommerce en avril 2021, en partenariat avec Bouygues Télécom Entreprises, Lyreco et Inmac Wstore.
Les produits IT et bureautiques concernés
- Machines, matériel et fourniture informatique et de bureau, excepté les meubles et logiciels.
- Terminaux et accessoires informatiques
- Ordinateurs portables ou de bureau
- Photocopieurs et matériel d'impression offset ainsi que les pièces détachées ou accessoires de ces appareils
- Téléphones fixes ou mobiles.
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IBM renforce son expertise Salesforce par le rachat de Waeg
Après le rachat de 7Summits en janvier 2021, IBM jette son dévolu sur Waeg. « La force de Waeg en matière de services de conseil Salesforce sera essentielle pour créer des workflows intelligents pour nos clients », a déclaré Mark Foster, VP IBM Services and Global Business Services. Implantée dans sept pays européens, Waeg détient 400 certifications notamment autour de Pardot, Salesforce B2B Commerce, et sur l’ensemble des clouds de l’éditeur. Waeg rejoindra la division Global Business Services de Big Blue en Europe. La transaction devrait être conclue ce trimestre.
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Tanium lance son Career Certifications Program pour ses clients et ses partenaires
L’éditeur en cybersécurité Tanium, ouvre un programme pour certifier l’expertise de ses clients et partenaires dans la gestion du cycle de vie des terminaux. « Pour les professionnels de l’IT, les certifications sont un moyen stratégique de se différencier et de faire progresser leur carrière. Les partenaires peuvent ainsi renforcer leurs références », indique Charles Ross, Chief Customer Officer de Tanium. Le programme comporte deux certifications : Opérateur certifié pour connaître les fondamentaux des solutions de l’éditeur, et Administrateur certifié pour attester d’une expertise approfondie en matière d'opérations et d'administration.
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Deux Dell Precision pour les vidéastes et data scientists
Dell sort les stations de travail Precision 3450 Small Form Factor (à droite) et Precision 3650 Tower. Ces systèmes sont dotés des processeurs Intel Core ou Xeon W-1300 de XIe génération et d’une mémoire allant jusqu’à 3 200 MHz. Les deux tours disposent de capacités graphiques et de stockage PCIE Gen 4 configurées avec les GPU Nvidia et AMD, et un stockage RAID évolutif. Le Precision 3650 embarque la technologie Intel Deep Learning Boost pour exécuter des algorithmes d’inférence sur des jeux de données volumineux. La prise en charge de la VR est en option. Comptez 600 € HT pour le Precision 3450 Small Form Factor, et 674,40 € HT pour le Dell Precision 3650 Tower.
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Un Mini PC chez Asus
Le Mini PC PB62 a été conçu pour s’intégrer à tout environnement, du bureau à un affichage en aéroport. Il intègre une puce Intel Core de XIe génération (de 35 W ou 65 W). On trouve la DDR4 3 200 Mhz côté RAM, jusqu'à 64 Go. Un triple espace de stockage comprend un SSD M.2 PCIE 4.0 x4, un SSD M.2 PCIE 3.0 x4 et un disque dur, pour une capacité totale de presque 2 To. Le PC est équipé d'un GPU Intel UHD Graphics 630. Testé selon le standard MIL-STD-810H, le PB62 résiste aux conditions climatiques extrêmes et aux chocs sévères. L'affichage s’étend jusqu’à trois écrans. L’Asus Mini PC PB62 sera disponible début juin, sans prix annoncé.
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JEAN-MICHEL DUROCHER, TIMETONIC
« Nous cherchons des partenaires qui rendront les clients autonomes »
Si son activité se développe et qu’elle cherche des partenaires pour soutenir sa croissance, c’est parce que TimeTonic opère sur un marché en pleine explosion. Le no-code séduit de plus en plus d’entreprises, particulièrement les PME, et Jean-Michel Durocher, président fondateur de l’éditeur, nous explique pourquoi.
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Présentez-nous votre entreprise et son activité.
Nous avons lancé TimeTonic en France en 2016. Nous sommes une vingtaine de personnes avec environ 150 sociétés clientes. Nous développons une plate-forme no-code, qui permet de créer ses propres applications sans programmation selon des modèles. TimeTonic se place dans une approche orientée vers les citizen developers - les équipes métiers - et centrée sur les données. Nous partons du besoin, nous le traduisons en données et l’application est prête sans avoir à penser à l’interface utilisateur. Nous cherchons à développer cette offre à l’international, lancer la nouvelle version de la plate-forme le 15 juin, et élargir les partenariats de distribution.
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Que pouvez-vous nous dire de votre programme Partenaires et de votre réseau ?
Ce programme est organisé selon trois statuts : apporteur d’affaires, partenaire commercial et intégrateur. Les deux derniers comportent trois paliers selon le volume d’affaires réalisé, lequel génère des commissions. Nous partageons aussi des leads, et menons des actions de comarketing à partir d’un certain niveau.
Neuf partenaires nous ont rejoint depuis le début de l’année, et nous sommes en pourparlers avec six autres en France et à l’international. Nous cherchons des partenaires animés par la volonté d’apporter une solution qui rende les clients libres. Souvent, les partenaires cherchent une relation client à long terme, alors qu’ici, l’objectif est de rendre le client autonome.
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À quelles problématiques le no-code peut-il répondre ?
Créer une solution cloud sécurisée par des applications mobiles demande du temps et des compétences que les équipes métier n’ont pas. Ces applications sont trop complexes, trop coûteuses ou trop focalisées sur une fonctionnalité spécifique. L’avantage du no-code est de centraliser l’information dans une base de données et de créer des fonctionnalités aussi puissantes que des gros ERP. On résout à la fois le besoin d’autonomie des entreprises et celui d’avoir un outil qui réponde à des besoins spécifiques.
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Émilie Sidiqian prend la tête de Salesforce France. En poste depuis près de vingt ans chez Accenture, Mme Sidiqian remplace Olivier Derrien à ce poste, et intègre la filiale française après une période houleuse, où plusieurs responsables ont été poussés vers la sortie.
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Edouard Beaucourt rejoint Snowflake à la direction France. C’est une création de poste chez l’éditeur d’un datawarehouse afin de développer son activité dans l’Hexagone. M. Beaucourt arrive de Tableau Software où il dirigeait l’activité française et Europe du sud.
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Jaya Deshmukh arrive chez Colt comme VP de la stratégie et de la transformation. Elle aura pour mission de gérer et piloter la feuille de route et les relations stratégiques du fournisseur réseau. Mme Deshmukh pilotait jusqu’ici la stratégie de Google Cloud en EMEA.
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Olivier Elbaz devient responsable de l'expansion internationale de Deel. Il accompagne ainsi l’éditeur de cette plate-forme de paiement dans le développement de nouveaux marchés, notamment en Amérique latine, EMEA et Asie Pacifique.
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