Syntec Numérique et Tech In France fusionnent
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Syntec Numérique et Tech In France renaissent à travers Numeum. Les deux principaux syndicats des acteurs du numérique en France forment une seule entité pour mieux défendre les intérêts des éditeurs et sociétés de services.
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Numeum a vu le jour mi-juin pour sceller la fusion de Syntec Numérique et Tech In France, et son premier conseil d’administration aura lieu en juillet. Les deux syndicats représenteront d’une seule voix les entreprises de services du numérique (ESN), les entreprises de conseil en technologies (ICT) et les éditeurs de logiciels. Cette organisation portera ainsi la voix de 2 300 entreprises, soit 530 000 emplois en France. Numeum sera coprésidé pendant un an par Pierre-Marie Lehucher et Godefroy de Bentzmann, respectivement ancien président de Tech In France et de Syntec Numérique.
« Le moment est venu de nous rassembler sous une même bannière pour former la première communauté pour le numérique et parler d’une seule et même voix », explique Pierre-Marie Lehucher. Autour d’un engagement pour un numérique responsable, durable et inclusif, Numeum a quatre ambitions : être le point de rassemblement de l’écosystème numérique au service de la société, incarner la France numérique en Europe et dans le monde, favoriser les synergies entre les acteurs du numérique, et renforcer son accompagnement auprès des entreprises adhérentes.
Le nouveau syndicat sera organisé en deux collèges : Services, composé des ESN et des ICT ; et Solutions, comprenant tous les éditeurs de logiciels et plates-formes. Numeum entend aussi poursuivre les travaux engagés par Syntec Numérique et Tech In France autour de l’environnement, l’emploi, la cybersécurité ou encore l’e-santé.
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Toshiba TFIS forme ses futures équipes commercial avec l’Idrac
Toshiba TFIS lance un cursus de formation Bachelor en alternance pour une promotion de 15 personnes au sein de l'Idrac Business School, dès septembre 2021. « Le but est de former la nouvelle génération de commerciaux qui rejoindra nos rangs. Le Toshiba Business Campus s'inscrit dans notre stratégie d'entreprise », indique Olivier Raverdy, directeur commercial filiales de Toshiba TFIS. À l'issue de la formation, un CDI sera proposé aux membres du programme pour rejoindre les équipes commerciales de la société.
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Allocloud racheté par Telavox
La société suédoise UCaaS Telavox réalise une seconde acquisition cette année, après le rachat de l'espagnol Numintec, en mars 2021. C’est au tour d’Allocloud, autre fournisseur de solutions de communication et collaboratives, de passer dans son giron. « Cette société occupe une position forte sur le marché belge et c’est sur cette base que nous espérons nous appuyer pour y accélérer la croissance avec l'aide de notre plate-forme », indique Viktor Karlsson, fondateur et P.-D.G. de Telavox. Allocloud a aussi récemment lancé une activité en France que Telavox compte développer.
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Dynabook lance deux PC portables
Dynabook lance les PC portables Tecra A40-J 14 pouces et Tecra A50-J 15,6 pouces. Grâce au BIOS propriétaire, au Trusted Platform Module 2.0, au chiffrement et à l'authentification par empreinte digitale et faciale Windows Hello (en option), les deux appareils assurent une sécurité renforcée. Côté performances, les deux PC sont équipés des puces Intel Core de XIe génération, et offrent jusqu'à 32 Go de RAM sur 2 x SO-DIMM DDR4 3200 et jusqu'à 1 To de stockage SSD OPAL 2.0. Ils seront disponibles en juillet.
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TimeTonic sortira sa V7* en bêta en juillet
Dans la prochaine version de sa plate-forme no-code, TimeTonic a pensé avant tout à l’expérience utilisateur. Bien que détails, les fonctionnalités de recherche rapide, de tri et de filtre ainsi que les conditions d’accès à chacun des 26 types de colonnes paramétrables de la V7* ont été simplifiées et rendues plus visibles. Une version bêta sera accessible en juillet, avant un lancement général en septembre. La grosse nouveauté sera les Smart Pages. TimeTonic a intégré une fonctionnalité d’édition de documents partagés directement à sa plate-forme.
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CÉDRIC VERSCHAEVER, INGRAM MICRO
« Certains clients ont encore besoin d’une licence perpétuelle »
Les entreprises utilisant des logiciels n’ont pas toutes le besoin d’aller vers le cloud. C’est pourquoi Microsoft et Ingram Micro souhaitent pousser Microsoft 365 sans le proposer à l’abonnement. Cédric Verschaever, commercial Microsoft OEM chez Ingram Micro, nous en parle.
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Comment s’organise Ingram Micro autour de ses offres cloud ?
La division cloud se compose de deux équipes : l’une dédiée aux services Microsoft, et l’autre pour les autres fournisseurs comme AWS, Google, Acronis, etc. Ces activités, concentrées sur notre marketplace, étaient essentiellement composées avec Microsoft puisque c’est l’un de nos plus gros partenaires. Aujourd’hui, nous essayons d’ouvrir notre catalogue à d’autres services. D’abord, nous avons élargi l’offre avec des antivirus, les services Adobe, Dropbox, etc. et maintenant, nous commençons à ajouter des offres concurrentes de celles de Microsoft.
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Vous continuez pourtant à proposer des licences perpétuelles.
Certains clients ont encore besoin ou préfèrent avoir une licence perpétuelle plutôt que de passer au cloud. Ce sont des TPE PME, notamment les artisans, qui éditent leurs devis et assurent leur comptabilité, mais dont la bureautique n’est pas le cœur de leur métier. Pour ce genre d’activité, il faut Word, Excel et Outlook. Nous y répondons avec l’offre Office Home & Business. Les cabinets médicaux ou d’architectes vont, eux, manifester les mêmes besoins mais devront en plus, stocker en ligne, mettre en place un outil collaboratif, etc. Là, il faut ajouter des services comme Sharepoint, Booking ou Teams. Notre rôle et celui de nos partenaires est de savoir comment le client consomme son Microsoft Office, pour lui proposer le meilleur package de services.
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En quoi l’offre Microsoft 365 Business Standard est-elle un bon compromis pour les entreprises qui ne veulent pas s’abonner à des services cloud ?
Certains clients Microsoft 365 sont encore rétifs à créer des comptes sur les plates-formes et à activer des services. Il fallait lever cette barrière psychologique de l’abonnement. M365 Business Standard a été créé pour y répondre en proposant le même service que la version SaaS, pour quasiment le même tarif, soit dans une boîte clés en main, soit en format dématérialisé à installer soi-même. Le renouvellement se fera tous les ans. Certains revendeurs peuvent aussi avoir du mal à mettre en place des abonnements mensuels auprès de leurs clients, voilà aussi pourquoi cette offre les intéresse.
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Pierre Munoz nommé channel manager chez Gatewatcher. En plus de renforcer les relations partenaires en France, M. Munoz devra recruter des acteurs pour le développement de Gatewatcher à l’étranger, surtout en Europe du nord et en Asie. Il était jusqu’ici directeur produit chez Exclusive Networks.
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Corine de Bilbao prend la tête de Microsoft France. Jusqu’ici CEO de Segula Technologies, Mme de Bilbao prendra ses fonctions de présidente le 1er juillet. « Je rejoins Microsoft France et son équipe talentueuse pour poursuivre ses engagements, aux côtés de l’écosystème du numérique », déclare-t-elle.
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Siki Giunta arrive chez HCL à la tête du cloud consulting. Sa mission sera de mettre en œuvre la stratégie du groupe autour des offres dédiées au cloud industriel. Avant de rejoindre HCL, Mme Giunta dirigeait la stratégie Journey to Cloud d’Accenture.
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Dan Smoot devient CEO de Riverbed. Arrivé en tant que directeur des relations clients, voilà trois ans, il était à la tête des opérations depuis 2019. Il devra piloter la prochaine phase de croissance de la société spécialiste de la performance applicative.
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