Logitech recycle ses installations de visio
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Désormais, toutes les solutions de visioconférence fonctionnant avec le système d’exploitation Collab OS de Logitech sont fabriquées avec du plastique recyclé. Sont concernées les séries Rally Bar, Rally Bar Mini, Tap IP, Tap Scheduler et Scribe.
« En faisant évoluer nos solutions pour les salles de réunion vers une gamme avec une empreinte carbone plus faible, nous aidons d’autres entreprises à relever leurs défis en matière de développement durable. Nous ne nous contentons pas uniquement de concevoir et de fabriquer de nouvelles solutions à partir de plastique recyclé et d’autres matériaux à faible teneur en carbone. Nous réadaptons les solutions existantes, sans augmenter les prix ni compromettre la qualité et les performances que les entreprises attendent de Logitech », indique Prakash Arunkundrum, directeur de l’exploitation chez Logitech.
Le fabricant prône le design for sustainability, autrement dit l’écoconception comme pratique clé du design durable avec l’utilisation de matériaux circulaires récupérés à partir de déchets, y compris « Next Life Plastics », les plastiques recyclés post-consommation. Les nouvelles solutions pour salles de réunion, comme Logitech Sight, utilisent ainsi un minimum de 50 % de plastique recyclé certifié. |
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SailPoint Technologies lance son programme MSP
Le spécialiste de la sécurité unifiée des identités pour les entreprises lance une offre de managed service provider articulée autour de sa solution SailPoint Identity Security Cloud.
« Notre offre MSP permet aux clients de se concentrer sur leurs principaux objectifs business en leur donnant la possibilité de s’appuyer sur nos partenaires certifiés pour gérer leur programme d’identité, plutôt que de s’efforcer à combler un manque croissant de talents et de ressources en matière d’identité », indique Dave Schwartz, SVP, Global Partnerships chez SailPoint.
La solution est fournie aux MSP en marque blanche pour qu’ils bâtissent leurs propres programmes dans le cadre d’une offre de cybersécurité plus large. Les partenaires peuvent également s’appuyer entièrement sur des services managés par SailPoint. |
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Dstny promeut les terminaux de seconde vie de Back Market
Le fournisseur européen de solutions de communication a noué un partenariat avec le spécialiste du reconditionnement d’équipements Back Market Pro, aux termes duquel les revendeurs de Dstny accèdent à une gamme de produits mobiles de seconde vie. Les vertus environnementales de l’approche ne sont plus à démontrer. Elles répondent à une demande croissante d’entreprises à la fois soucieuses d’alléger leur empreinte carbone et en quête d’économies.
« En proposant des produits de seconde vie de haute qualité, nous réduisons l’impact environnemental et offrons des solutions économiques à nos clients. Nos partenaires bénéficient également des effets vertueux de cette démarche. Le reconditionnement leur permet d’améliorer la perception de la marque auprès des consommateurs, en particulier ceux qui valorisent la durabilité et l’éthique environnementale. Cela peut renforcer la fidélité de nos clients et attirer une nouvelle clientèle », souligne Laurent Silvestri, cofondateur de Dstny.
L’offre Back Market Pro sera disponible via la plate-forme MyDstny, où les partenaires pourront obtenir une remise de 5 %. |
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Acer décline sa gamme Swift avec des processeurs AMD
Les portables Acer Swift Edge 16 et Swift Go 14 sont équipés de processeurs AMD Ryze 8040 serie et d’une carte graphique intégrée de type AMD Radeon 700 ou 780M.
En outre, une puce Ryzen AI est dédiée aux traitements et applications d’IA, tels que PurifiedView et PurifiedVoice, qui améliorent la qualité des appels en ligne, QuickPanel qui facilite l’accès aux outils de visioconférence ou AcerSense pour le contrôle de l’appareil. Ces portables embarquent jusqu’à 32 Go de RAM LPDDR5 et jusqu’à 2 To de capacité de stockage au format SSD PCIe 4.0.
Les modèles Edge 16 et Go 14 sont respectivement dotés d’une dalle OLED 3,2K de 16 pouces et 2,8K de 14 pouces. Si seul le portable 16 pouces est paré pour le Wi-Fi 7, la connectique est généreuse pour les deux modèles.
En termes de protection, la technologie Microsoft Pluton permet de sécuriser les ordinateurs ainsi que leurs données.
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TP-Link complète ses offres de connectivité pour TPE-PME
Présentés comme des« solutions simples et économiques pour la gestion des réseaux des petites entreprises », deux routeurs VPN rejoignent le catalogue du fabricant. Le modèle ER605W combine une connectivité Wi-Fi AC1350 bi-bande et une interface Gigabit à 6 ports, tandis que l’ER706W-4G, conçu pour les zones à faible couverture ADSL/fibre, offre une connectivité 4G+ avec Wi-Fi 6 AX3000. Ces produits supportent les protocoles VPN IPSec, OpenVPN, PPTP, L2TP et Wireguard, et d’autres options de sécurité, comme la protection DoS et le filtrage IP/MAC/URL.
Quatre nouveaux switches de niveau 3 sont également proposés, tout comme des points d’accès Wi-Fi de dernière génération : l’EAP683 LR, une borne
Wi-Fi 6 plafonnier offrant une bande passante de 6 Gb/s, les modèles Wi-Fi 7 EAP770 et EAP783, et l’EAP625 Outdoor HD, conçu pour une utilisation extérieure et doté d’une capacité de connexion pouvant atteindre 1 000 clients simultanés. |
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Denis Teissier,
directeur marketing
et communication,
Covage
« Nous sommes un opérateur d’opérateurs »
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Quels sont les obstacles que rencontrent encore aujourd’hui
les entreprises françaises pour se connecter à la fibre ?
Parmi les grands freins, il y a d’abord l’éligibilité qui, au regard de l’avancée
de la couverture FTTH aujourd’hui en France, est plus un sujet sur la bonne information
et le bon accompagnement que peuvent fournir les opérateurs aux entreprises qu’un sujet sur l’éligibilité elle-même.
Contrairement aux particuliers qui possèdent généralement une adresse normée, l’emplacement exact des entreprises n’est pas toujours connu pour obtenir la bonne information quant à l’éligibilité. Il existe encore des cas d’entreprises non éligibles, mais c’est une part en forte diminution. Il y a ensuite le frein des coûts. Les entreprises peuvent différencier plusieurs typologies de coûts des offres fibre sur le marché et faire jouer la concurrence, mais elles sont surtout confrontées à la crainte de travaux sur leur site et à la gestion de coûts indirects du projet : passer à la fibre pour une entreprise aujourd’hui n’est pas aussi simple que de changer de box. Il lui faut repenser son architecture LAN
et Wi-Fi notamment, revoir son schéma directeur IT et, éventuellement, coordonner différents sites.
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Quels sont les points forts de votre offre sur le marché français ?
En tant qu’opérateur de gros, nous occupons une place particulière sur le marché français. Nous ne vendons pas aux entreprises mais aux opérateurs. Nous sommes aujourd’hui le troisième opérateur d’infrastructures derrière Orange et SFR. Que ce soit en termes de FTTH pro ou de fibre dédiée, nous avons la capacité de cibler une couverture nationale et de proposer notre fibre à 75 % des entreprises françaises. Notre couverture touche 13 000 communes et tous les types de territoires, urbains ou ruraux. Enfin, nous cherchons à mettre en avant une expérience client qui mêle à la fois des outils performants et automatisés et la relation humaine. En 2024, nous étendons notre catalogue aux offres mobiles.
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Qui relaie cette offre en France ?
Nous avons trois canaux. Les opérateurs de vente directe qui adressent eux-mêmes le marché des entreprises, des grosses PME aux comptes du CAC 40 ; les opérateurs de vente indirecte qui adressent plutôt le bas du marché ; et les opérateurs internationaux. Nous sommes un opérateur d’opérateurs dont le but est de faire progresser nos clients.
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Vous avez pour objectif de rendre 100 % des entreprises éligibles
à votre fibre d’ici à la fin de l’année, quels moyens mettez-vous en œuvre
pour y parvenir ?
Nous avons levé 156 millions d’euros qui permettent de financer nos investissements. Nous sommes passés d’une capacité de couverture de 40 % des entreprises fin 2022 à 75 % des entreprises fin 2023. Notre stratégie vise soit à déployer nous-mêmes notre propre réseau dès lors que nous estimons une rentabilité suffisante à la clé, soit à référencer les offres de tiers, comme les réseaux d’initiative publique avec lesquels nous travaillons, pour couvrir les zones qui ne présentent pas pour nous de rentabilité. Nous nous positionnons alors comme un one-stop shopping en fournissant à nos clients une interface de commande pour accéder à des interlocuteurs uniques qui leur permettent de proposer une couverture de 100 % des entreprises du territoire français au travers soit des réseaux de Covage, soit de la revente d’autres réseaux.
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Mitel nomme Eric Hanson au poste de CMO
Eric Hanson rejoint l’équipe de direction en tant que Chief Marketing Officer, aux commandes de la stratégie marketing mondiale de Mitel, incluant le marketing des solutions du portefeuille de Mitel, la génération de la demande, l’identité de la marque, le marketing d’engagement auprès des partenaires, le marketing client et la communication.
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Joe Levy remplace Kris Hagerman chez Sophos
En tant que président et directeur général, Joe Levy succède à Kris Hagerman qui avait intégré ce poste en 2012 et qui conserve un rôle de conseil au sein de l’entreprise de cybersécurité jusqu’au
1er avril prochain. Présent chez Sophos depuis neuf ans, Joe Levy devient président-directeur général par intérim de la société.
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Johanna Mimoun, nouvelle directrice marketing d’Inetum France
La principale mission de Johanna Mimoun est de développer et de mettre en œuvre une stratégie marketing pour soutenir la croissance du groupe dans l’Hexagone. Elle travaillera en étroite collaboration avec les équipes opérationnelles et les équipes commerciales pour en assurer le déploiement, tout en intégrant le comité de direction auprès de Normann Hodara, CEO d’Inetum France.
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Sunday nomme Arnaud Lemaire CTO
L’éditeur de solutions de paiement pour restaurants annonce la nomination d’Arnaud Lemaire au poste de Chief Technology Officer. Présent depuis le lancement de la société en 2021, ce dernier mettra son expertise technologique au service du développement de l’entreprise et supervisera une équipe d’une cinquantaine de personnes basée en France, aux États-Unis et en Espagne.
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