Arrow a noué en France un accord de distribution avec Rubrik.
Ce partenariat donne au channel du VAD un accès à Rubrik Security Cloud, plate-forme conçue pour sécuriser les données des entreprises, surveiller et évaluer les risques et récupérer les données sur site ou à distance en cas de cyberattaque.
« La sécurité des données est primordiale dans le cadre actuel des menaces. L’extension de notre collaboration avec Rubrik nous permet d’offrir à nos partenaires français des solutions de pointe et s’appuie sur notre succès commun dans d’autres marchés de la zone EMEA. Rubrik Security Cloud complète notre portefeuille existant et renforce la proposition de valeur que nous apportons à nos clients », indique Michel Théon, Country Manager d’Arrow France.
L’offre de Rubrik repose notamment sur une immuabilité native, des protocoles sécurisés, une isolation logique, un chiffrement, des contrôles d’accès basés sur les rôles, une authentification multifacteur et des services pour préserver l’intégrité et la disponibilité des données. |
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TD Synnex France complète son portefeuille Nvidia
Le distributeur renforce son offre d’intelligence artificielle (IA) avec les solutions d’infrastructure Nvidia DGX, conçues pour les entreprises qui souhaitent accélérer l’adoption des technologies axées sur l’IA, et avec les nouvelles cartes GPU pour data center du fabricant dédiées aux calculs complexes et généralistes. Ces produits complètent la suite logicielle Nvidia AI Enterprise, la plate-forme Nvidia Omniverse et les solutions Nvidia Network.
« Nvidia renforce sa position grâce à notre portefeuille qui englobe l’infrastructure, l’offre cloud, les solutions software et le réseau. Nous pouvons ainsi accompagner nos partenaires et répondre à toutes leurs questions. Nous sommes conscients de l’ensemble des défis que les clients peuvent rencontrer dans l'adoption de ces solutions innovantes. Avec notre parcours de formation, qui sera lancé dans les semaines à venir, nous accompagnerons les partenaires dans la maîtrise de ce marché, avec des offres end-to-end qui répondront aux besoins de leurs clients, y compris dans leur montée en compétence », indique Hind Nefari, Business Unit Manager IA chez TD Synnex. |
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Une plate-forme Unyc pour les intégrateurs
Make IT est une plate-forme IaaS développée par Unyc à destination de ses partenaires. Elle leur permet de déployer leurs propres solutions à partir d’une infrastructure cloud privé hébergée chez Unyc.
« Avec une croissance prévue de 37 % d’ici à 2025 pour les services IaaS et la transition vers un modèle cloud first pour 85 % des entreprises françaises, nous anticipons les besoins en flexibilité, évolutivité et efficacité opérationnelle. Nous avons construit une offre IaaS novatrice, représentant un socle fondamental pour tout intégrateur IT, avec une facilité d’utilisation, de déploiement et un positionnement tarifaire agressif », souligne Arnaud Gautier, directeur des offres cloud et cyber chez Unyc.
Pilotée depuis la plate-forme Atlas du fournisseur, l’offre Make IT prend en charge la configuration, les mises à jour et la sécurisation des solutions déployées. |
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Un point d’accès WiFi 7 PoE++
Avec le WBE750, Netgear signe un point d’accès WiFi 7 compact, tribande, délivrant un débit de 18,4 Gb et se connectant au réseau grâce à un port PoE++ de 10 Gb. Le boîtier prend en charge jusqu’à 600 appareils simultanément et fonctionne sur les trois bandes de fréquences 2,4 GHz, 5 Ghz et 6 GHz, où chaque antenne est réglée individuellement. Un filtre pour les opérations MLO (multi-link opérations) isole chaque bande de fréquences pour fournir un gain de connectivité. Le WBE750 s’administre avec Insight, la plate-forme de Netgear. Celle-ci, depuis un portail web ou une application mobile, gère la configuration et la gestion plug-and-play des produits compatibles. Un abonnement d’un an à ce service est inclus avec le point d’accès. |
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Une LaserJet Pro pour
les PME
La nouvelle série Color LaserJet Pro 3000 exploite le toner TerraJet qui permet d’obtenir des couleurs 11 % plus vives et des vitesses d’impression 18 % plus rapides, indique HP, qui revendique également le recto verso et la première page les plus rapides de cette catégorie A4. Les modèles atteignent ainsi 29 ppm en noir et 15 ppm en couleur, avec un cycle d’utilisation d’environ 60 000 pages. Le consommable est également moins énergivore lors de l’impression, tandis que le conteneur du consommable est fabriqué avec moins de plastique. La nouvelle famille du fabricant américain exploite le WiFi 2, pour demeurer automatiquement disponible en ligne, et l’environnement Wolf Pro Security, pour sécuriser les impressions. |
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Pierre Vanhoutte,
directeur de l’offre détection et traitement du risque de fraude, Itesoft
« Le document est la matière première préférée des fraudeurs »
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Quels sont les enjeux de votre fonction ?
Nous accompagnons les experts de la fraude avec les technologies ad hoc pour accélérer le processus d’analyse et de contrôle (images, documents, cohérence des données). Notre objectif : leur apporter la brique technologique pour décider vite et bien, en les accompagnant sur toute la chaîne de valeur du dispositif antifraude.
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Comment contextualisez-vous la notion du risque documentaire en France ?
Le risque de fraude s’accentue. Toutes les organisations sont concernées.
En ligne de mire, il y a le document. L’accélération des échanges dématérialisés et la banalisation des logiciels de retouche d’images font du document la matière première préférée des fraudeurs. Plus de 50 % des fraudes seraient réalisées à l’aide d’un document contrefait ou falsifié. Lutter efficacement contre la fraude, c’est aussi trouver le juste équilibre entre la technologie et la place incontournable de l’humain, le savoir-faire des enquêteurs et la puissance des IA pour multiplier le volume d’alertes pertinentes.
La détection est un prérequis indispensable. Mais il faut aller plus loin et traiter les alertes pour révéler les éléments constitutifs de la fraude, car, sans traitement, les économies liées à la lutte restent en suspens.
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Quels moyens les entreprises ont à leur disposition pour réduire
ces risques ?
Une grande majorité des acteurs économiques souffre d’un manque de moyens humains, technologiques et de formation. Or, le traitement d’un dossier de fraude peut être long et minutieux. Les métiers doivent réaliser de nombreuses tâches avant de valider le caractère frauduleux d’un dossier. C’est parfois un parcours du combattant. Les délais de gestion s’allongent inévitablement pour des industries comme la banque et l’assurance, des secteurs fortement régulés. En 2024, les organisations doivent faire plus et mieux pour protéger la communauté des « usagers honnêtes » de la fraude. Ce doit être, à cet égard, un vrai sujet de gouvernance et de responsabilité. Qui rejoindrait un groupe qui se laisse impunément abuser ?
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Quel type de solution protège contre la fraude documentaire ?
Une solution doit a minima permettre de détecter des signaux faibles de fraude.
Ensuite, la détection peut être poussée sur des schémas plus techniques et la détection d’anomalies sur document. Enfin, et parce que la détection ne fait pas la fraude, il est nécessaire de disposer de ressources humaines sinon expertes du moins très avisées par le sujet des investigations. Point central : un bon gestionnaire ne fait pas forcément un bon gestionnaire de lutte contre la fraude car ce dernier doit être formé sur les méthodologies, le traitement juridique de la fraude et les spécificités en matière de santé et de dommages aux biens. Pour couvrir tout cela, il faut un outil global qui permette de centraliser les alertes, de journaliser les actions, de reporter les informations économétriques de la fraude.
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Epson France renforce son équipe de direction
Nommé au poste de Country Manager, Pascal Schmidt succède à Massimo Pizzocri, qui demeure directeur représentatif d’Epson France, vice-président des ventes et du marketing des projecteurs d’Epson Europe et directeur général d’Epson Italie. Il a commencé sa carrière au sein d’Epson France en 1991 en tant que Retail Manager.
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Altospam nomme son directeur technique
Paul-Louis Vincenti rejoint l’équipe technique de l’éditeur. Il est chargé de faire évoluer l’offre existante, d’améliorer en continu la qualité de filtrage de la solution, de s’assurer du maintien opérationnel de la plate-forme, de travailler sur le passage de la certification ISO 27001 ou encore de se conformer au référentiel NIS 2.
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Brevo nomme Axel Detours Senior VP Global Sales
La mission d’Axel Detours est d’élaborer et d’exécuter la stratégie de vente au niveau mondial de la suite CRM Brevo en Europe et aux États-Unis, et d’accroître sa présence sur les marchés
de l’e-commerce, du retail, des médias, de la banque et de l’assurance.
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SaaSOffice nomme son COO
Spécialisée dans la numérisation des espaces de travail, la filiale SaaSOffice du groupe Courtin recrute Éric Fabbri en tant que Chief Operation Officer. Sous la direction de Brice Arnavon, il encadrera les équipes du département Opérations. |
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