Secure Future, l’avenir de la cybersécurité selon Microsoft
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« Au cours des derniers mois, nous avons conclu au sein de Microsoft que la vitesse, l’ampleur et la sophistication croissantes des cyberattaques appellent une nouvelle réponse. C’est pourquoi nous lançons une nouvelle initiative que nous appelons notre Secure Future Initiative (SFI) », explique Brad Smith, vice-président et président de Microsoft, sur le blog de l’éditeur. Pour réduire les vulnérabilités exploitées par les attaquants au cours des dernières années, SFI s’appuie sur trois piliers. D’abord, l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) pour renforcer la protection contre les nouvelles cybermenaces. L’éditeur veut ainsi partager avec ses utilisateurs des outils et techniques d’IA pour détecter et analyser les cybermenaces qu’il exploite dans ses propres centres d’analyses. L’offre s’appuie notamment sur Microsoft Security Copilot, qui combine un grand modèle de langage (LLM) avec un modèle dédié à la sécurité. SFI considère ensuite la perspective de développement de nouvelles avancées technologiques servant à faire évoluer la façon dont Microsoft développe ses logiciels. Le renforcement de protection de l’identité et la réduction du temps nécessaire pour corriger une vulnérabilité cloud sont également au programme. Enfin, SFI appelle au renforcement d’une collaboration internationale pour définir des règles applicables par les gouvernements en matière de protection des infrastructures critiques.
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Acronis accompagne la formation des MSP
Conçue pour les fournisseurs de services managés, l’Acronis MSP Academy veut couvrir les volets opérationnels, technologiques, commerciaux et marketing des nouvelles formes d’infogérance. La plate-forme d’apprentissage décortique dans des modules de trois à sept minutes les enjeux de la création d’une activité MSP puis de sa durée dans le temps. Les participants ont la possibilité de passer ensuite un examen pour recevoir un badge Credly à partager avec leurs pairs et leurs clients. « La MSP Academy offre une expérience éducative personnalisée, permettant aux apprenants d’explorer des sujets spécifiques ou de suivre un parcours d’apprentissage structuré. L’évolution rapide de la technologie et du paysage métier nécessite une formation continue, et la MSP Academy est conçue pour répondre ces besoins croissants », indique Jon McCarrick, directeur d’évangélisation chez Acronis. À terme, Acronis veut proposer des boot camps hybrides en collaboration avec des distributeurs cloud, fournir une expérience d’apprentissage immersive et lancer de nouvelles solutions de formation multilingues en ligne. |
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Kodak fait de Kyocera un partenaire de choix
Le fabricant de scanners annonce la signature d’un contrat de partenariat avec Kyocera Document Solutions France. « Avoir un partenaire tel que Kyocera à nos côtés, c’est avoir la certitude d’accélérer significativement le déploiement de notre offre sur le territoire et de mettre en commun la somme de nos compétences pour mieux accompagner les clients dans leur transformation digitale », souligne Bruno Ceccon, directeur commercial France chez Kodak Alaris. En ligne de mire, le marché de la dématérialisation documentaire pour lequel les capacités de capture fournies par les multifonctions ne sont pas toujours à la hauteur des projets. « Les solutions de Kodak Alaris représentent l’exemple même de ce qu’attendent les utilisateurs aujourd’hui : des scanners performants et fiables pour répondre aux enjeux de la dématérialisation des documents », indique Christina Tran, responsable marketing produit chez Kyocera Document Solutions France. |
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Des écrans grand confort
Les Dell UltraSharp 27 Thunderbolt Hub (U2724DE) et UltraSharp 27 (U2724D) sont les premiers écrans du marché à obtenir la certification cinq étoiles d’une nouvelle norme développée par TUV Rheinland, qui distingue les dispositifs qui limitent la fatigue oculaire. Ces deux modèles fonctionnent avec une fréquence de rafraîchissement de 120 Hz, et exploitent la technologie ComfortView Plus, qui réduit l’exposition à la lumière bleue, passant d’une exposition de 50 % pour la génération d’écrans précédente à une exposition inférieure à 35 %. Ils disposent d’un capteur de lumière ambiante intégré, qui détecte les conditions d’éclairage, et ajuste automatiquement la luminosité de l’écran et le réglage des couleurs. Deux autres nouveaux écrans Dell, l’UltraSharp 24 USB-C Hub (U2424HE) et l’UltraSharp 24 (U2424H), optimisent également le confort visuel.
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Un projecteur très discret
Sharp NEC Display Solutions Europe lance le NEC NC603L, un projecteur de cinéma numérique à 6 000 lumens, annoncé pour être le plus silencieux du marché avec un niveau sonore inférieur à 39 dB. Il embarque dans un boîtier compact une technologie laser et bénéficie d’une durée de vie de 50 000 heures presque sans maintenance. Le NC603L peut être installé au sol ou au plafond ; le décalage de l’objectif lui permet de s’adapter au positionnement choisi. Le niveau de luminosité pour la 3D/2D est par ailleurs réglable sur une échelle de 100 à 30 %. Autant d’atouts pour les petites cabines de projection ou les cinémas mobiles. Le NC603L présente une consommation de 0,89 kW, et son moteur optique et sa source lumineuse au laser sont scellés afin de réduire les infiltrations de poussière. En outre, il accepte les objectifs de la gamme NEC NC1000C.
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Florent Chassignol, directeur, Recoveo
« Même des données chiffrées peuvent être récupérées »
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Quelles sont les activités de Recoveo ?
Nous réceptionnons des serveurs, disques durs ou téléphones en panne pour récupérer leurs données perdues ou inaccessibles, tels des chirurgiens de l’informatique. Recoveo a été créé il y a près de vingt-deux ans, nous sommes aujourd’hui le leader français de la récupération de données, avec une trentaine de collaborateurs et deux laboratoires, situés à Paris et à Roanne.
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Comment évolue le marché de la récupération de données, en particulier avec les rançongiciels qui chiffrent les disques ?
Depuis 2019, les demandes se multiplient sur les rançongiciels. Le marché du ransomware représente désormais 25 % notre activité. Nous répondons à ces nouvelles menaces en démontrant que même les données chiffrées peuvent être récupérées. Notre savoir-faire fournit une solution éthique à ceux qui refusent de payer une rançon. Les serveurs, les éléments de virtualisation, les espaces de backup sont aujourd’hui des cibles particulièrement visées. Parmi les points faibles des pirates, il y a l’impossibilité, par manque de temps, de chiffrer à 100 % l’environnement attaqué. Ils créent ainsi des failles à partir desquelles nous pouvons extraire de la donnée. Notre solution permet en outre de repartir avec des données du jour et pas avec un vieux backup datant de quelques mois.
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Comment sont organisés vos services ?
Nous intervenons sur site comme à distance. On nous envoie quelquefois directement des machines virtuelles.
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Quelle est votre approche de distribution ?
Nous avons historiquement des partenaires IT. Ils sont près d’un millier actifs à l’année. Nous travaillons avec des spécialistes de la cybersécurité, en particulier dans la réponse à incidents : nous gérons la partie perte de données, et eux se chargent de l’investigation et de la remédiation. Nous leur amenons de la réactivité, notamment sur les pannes mécaniques grâce à notre stock important de disques durs. Nous leur apportons également du conseil, notamment par une offre logicielle, et, bien sûr, une qualité de service en tant que numéro un français.
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Quelles sont vos actualités ?
Nous venons de lancer le site SOS Ransomware, 100 % dédié à cette activité, et nous serons présents à la prochaine semaine Cyber de Lille, puis à IT Partners 2024. Parallèlement, nous sortons sur le marché un produit plutôt unique, un logiciel de monitoring dont l’objectif est de prédire les pannes de disques traditionnels et SSD sur les réseaux.
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