Acer muscle son offre de PC NUC
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La gamme Veriton NUC rejoint la famille de mini-PC du fabricant taïwanais qui ne vise pas moins que la deuxième place du podium sur le marché français du NUC d’ici à la fin de l’année 2025. Sous forme d’ordinateurs de type barebone, la nouvelle offre est proposée aux revendeurs certifiés Acer Synergy, en mode BTO (built to order). Elle est également éligible aux appels d’offres privés ou publics. Acer accompagne alors ses partenaires en intégrant directement en usine l’image logicielle des PC ou en proposant aux revendeurs de s’appuyer sur le service clients d’Acer en France. « La nouvelle gamme Acer Veriton NUC est spécialement conçue pour permettre à nos partenaires intégrateurs revendeurs d’ajuster les configurations à chaque usage », indique Benjamin Colin, directeur des ventes B to B et channel chez Acer France. Le Veriton NUC est notamment équipé de processeurs Intel, jusqu’au Core Ultra, et d’une carte graphique Intel ARCTM de 8 cœurs Xe. |
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Sharp Europe poursuit sa stratégie de transformation
Comme beaucoup d’acteurs issus du monde du print, Sharp se rêve en entreprise de services numériques. Le fabricant japonais vient de se doter de nouvelles expertises en rachetant Apsia, une société française spécialisée dans la transformation numérique et l’intégration cloud. Apsia a réalisé un chiffre d’affaires de 22,5 millions d’euros en 2022 et compte près de 150 collaborateurs. Ses activités vont du CRM à l’ERP, en passant par la cybersécurité, l’exploitation des données et de l’intelligence artificielle, et l’audit cloud. L’entreprise offre également des services de conseil et d’implémentation. « Cette acquisition représente un tournant majeur pour Sharp Europe dans sa stratégie d’expansion et de diversification de ses services IT en Europe. Sharp et Apsia partagent une vision commune centrée sur le client », indique Yoichi Tomota, président de Sharp Electronics Europe. Apsia doit conserver son identité et sa marque sur le marché français. |
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Provence.ai, un air de French touch
Nouvel éditeur français, Provence.ai est une plate-forme d’automatisation de la reconnaissance de documents, d’extraction de données et de vérification de dossiers. Nicolas Woirhaye, son cofondateur, est en charge du lancement commercial de ces nouvelles offres de traitement documentaire intelligent. « Lorsqu’on veut traiter massivement des documents sensibles et des dossiers confidentiels, les nouveaux algorithmes d’IA apportent un vrai changement d’échelle. Leurs performances sont supérieures à celles des humains pour classifier un flux documentaire, pour extraire des informations ou pour vérifier qu’un dossier est complet et n’a pas d’incohérences. Ces technologies répondent aux besoins de traiter les dossiers plus rapidement », explique-t-il. Provence.ai cherche à constituer un réseau de partenaires intégrateurs et distributeurs pour déployer son offre en France et à l’international. |
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Clumio Backtrack restaure massivement le stockage S3
Clumio Backtrack de Commvault s’appuie sur l’automatisation pour restaurer des données stockées dans Amazon Simple Storage Service (S3) telles qu’elles existaient à un moment précis. L’éditeur assure pouvoir restaurer ensemble des milliards d’objets, qu’ils soient perdus, supprimés ou modifiés. Pour remonter dans le temps et revenir à une bonne copie des données, Clumio Backtrack s’appuie sur Amazon S3 Versioning. La solution cible notamment des sous-ensembles spécifiques de données sans nécessiter de restauration ou de réplication de sauvegarde complète. Elle reprend le principe des snapshots incrémentaux qu’elle adapte à un stockage en mode objet. Clumio Backtrack tire également parti d’une architecture sans serveur, qui permet une mise à l’échelle dynamique en fonction de la demande, réduisant ainsi les frais généraux et s’alignant sur le modèle de tarification à l’utilisation d’AWS. |
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Lightning Intelligence scrute l’Active Directory et Entra ID
Nouvelle offre d’évaluation de la posture de sécurité, Lightning Intelligence de Semperis analyse les environnements multi-forêts Active Directory et multi-tenants Entra ID afin de réduire les risques d’attaques ciblant les identités. Conçue pour découvrir et corriger les vulnérabilités dans des environnements complexes, la solution identifie les failles et génère des rapports qui se veulent simples à lire. Déployée en mode SaaS ou sur site, Lightning Intelligence fournit une vue globale des indicateurs et des tendances de posture de sécurité dans les environnements hybrides AD et Entra. Sur la base d’indicateurs d’exposition constamment mis à jour, elle affiche des scores de sécurité détaillés pour chaque forêt ou tenant sur un unique tableau de bord, tout en réalisant des scans programmés ou à la demande. Outre la posture de sécurité globale, l’approche couvre l’ITDR (identity threat detection and response), l’audit des changements et les analyses forensiques. |
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David Kopp, Sales Engineer, Trend Micro
« L’IA agentique donnera à nos solutions des capacités de prise de décision »
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Comment se positionne Trend Micro vis-à-vis de l’intelligence artificielle, comment l’utilisez-vous concrètement ?
Nous utilisons l’IA depuis 2004 pour améliorer nos capacités de détection et de réponse aux menaces, notamment contre les courriers indésirables et le phishing. Avec l’arrivée des IA génératives, nous avons accéléré nos efforts dans ces domaines. Nous utilisons l’IA générative pour accompagner nos clients et partenaires dans la prise de décision, en mettant en lumière des signaux faibles qui pourraient indiquer une attaque. L’IA nous permet d’améliorer l’ergonomie de nos solutions, de construire automatiquement des réponses aux incidents, et d’augmenter l’efficacité et la productivité des équipes de sécurité.
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Pouvez-vous donner des exemples de l’utilisation de l’IA chez Trend Micro ?
L’IA générative peut analyser les habitudes d’utilisation de nos solutions par nos clients et personnaliser l’interface en conséquence. Elle peut construire automatiquement des cheminements de réponse aux incidents, en s’appuyant sur l’expérience de Trend Micro et des chercheurs. Nous utilisons également l’IA pour la détection proactive des pages de phishing, grâce à la technologie de computer vision, et pour la détection de codes malicieux via le machine learning.
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Quelles sont les limites actuelles de l’IA appliquée à la cybersécurité ?
Nous sommes encore aux prémices de l’utilisation de l’IA, notamment de l’IA générative. Il y a une grande marge de manœuvre : nous travaillons déjà sur la prochaine génération d’IA, l’IA agentique, qui permettra de donner des capacités de prise de décision aux solutions. Actuellement, l’IA est principalement utilisée pour l’accompagnement, la proposition d’améliorations et l’automatisation. Bientôt, elle sera capable de prendre des décisions et d’exécuter des actions de remédiation sans intervention humaine. L’un des défis est de garantir la maturité des technologies et des processus. La conformité et la réglementation, notamment avec l’arrivée de l’AI Act européen, sont également des enjeux. La question de la souveraineté des données est cruciale pour nos clients, et nous devons nous assurer que l’IA respecte ces exigences. |
Comment l’IA change-t-elle la nature de votre catalogue de solutions ?
Nous avons intégré progressivement différentes technologies d’IA, d’abord les systèmes experts, puis le machine learning et la computer vision, pour améliorer la détection des menaces et la proactivité de nos solutions. L’IA générative est aujourd’hui un moyen d’offrir un accompagnement personnalisé et d’automatiser certaines tâches. Nous devons également prendre en compte l’adoption croissante de l’IA par nos clients et sécuriser leurs activités face aux nouvelles surfaces d’attaque que cela engendre.
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Comment ces changements se répercutent-ils sur votre stratégie de distribution ?
Nous devons accompagner nos partenaires revendeurs qui n’ont pas tous une expertise en IA, en leur fournissant des formations et des outils pour qu’ils puissent à leur tour accompagner leurs clients. Nous devons sensibiliser nos partenaires aux risques liés à l’adoption de l’IA et les aider à sécuriser leurs infrastructures. Enfin, nous avons l’opportunité de collaborer avec de nouveaux partenaires spécialisés dans l’IA, qui pourront nous aider à déployer nos solutions et à accompagner nos clients dans l’adoption de cette technologie.
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Isabelle Sinegre nommée Sales Manager France de Lancom Systems
La filiale réseau du groupe allemand Rohde & Schwarz Lancom Systems consolide sa présence sur le territoire français en choisissant Isabelle Sinegre, ancienne directrice commerciale France de Telavox et administratrice du Club des dirigeants réseaux et télécoms, comme Sales Manager. Elle reportera à Denis Authier, vice-président des ventes internationales.
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M-Files change de dirigeant
M-Files a nommé Jay Bhatt au poste de CEO. Cette annonce intervient à l’issue d’une recapitalisation majoritaire menée notamment par Haveli Investments, une société de capital-investissement spécialisée dans la technologie, basée à Austin (Texas, États-Unis), et par Bregal Milestone, une société de capital-investissement européenne spécialisée dans les logiciels.
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Morgane Carrichon rejoint Altospam au poste de CSM
Altospam renforce son équipe de management avec Morgane Carrichon, qui occupe le poste de Customer Success Manager. Intervenant de bout en bout sur les projets, elle s’assurera que les clients bénéficient d’une qualité de service et qu’ils puissent tirer le meilleur parti des solutions qu’ils utilisent. |
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Custocy recrute son Head of AI and cybersecurity strategy
À ce poste, Cédric Lefebvre pilotera la stratégie d’intégration de l’intelligence artificielle dans l’offre NDR et définira les développements en matière de détection des menaces réseau. Il supervisera également les projets IA et mènera une veille sur les nouvelles technologies et méthodes de détection basées sur l’IA. |
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