Steve Bandrowczak, CEO de Xerox
Le fabricant américain va débourser 1,5 milliard de dollars pour acquérir son compatriote Lexmark, issu de la scission de la division imprimantes bureautiques d’IBM en 1991. Lexmark avait changé de mains en 2016, racheté par Ninestar Corporation, PAG Asia Capital et Shanghai Shouda Investment Centre. Mais, à l’automne 2024, le consortium asiatique cherchait à revendre sa prise et tablait alors sur un prix de 2 milliards de dollars. Finalement, le montant de la transaction, qui devrait être finalisée
au second semestre 2025, a été revu à la baisse.
La nouvelle organisation adressera plus de 200 000 clients dans 170 pays, avec 125 sites de production et de distribution dans 16 pays. Une bouffée d’air frais pour l’inventeur
de la photocopie, de l’imprimante laser et du protocole Ethernet, qui connaît
ces dernières années une mauvaise passe.
« Cette acquisition réunira deux entreprises leaders du secteur, partageant des valeurs communes, des forces complémentaires et un engagement profond à faire progresser l’industrie de l’impression pour créer une organisation plus forte. En combinant nos capacités, nous serons mieux positionnés pour assurer une croissance rentable
à long terme et servir nos clients, tout en poursuivant notre réinvention », souligne
Steve Bandrowczak, CEO de Xerox.
Ensemble, Lexmark et Xerox détiennent les cinq premières parts du marché mondial de l’impression, tous secteurs confondus. |
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Watsoft importe la cybersécurité d’Heimdal
Le distributeur annonce le lancement exclusif d’Heimdal Security en France.
L’importation des solutions de cybersécurité de l’éditeur danois renforce le portefeuille de Watsoft avec une suite de solutions allant de la protection DNS et des correctifs logiciels tiers à des services avancés, comme la détection et la réponse gérées (Managed XDR).
Le VAD bordelais voit dans l’adoption de cette nouvelle offre « une réponse à des besoins pressants dans le contexte géopolitique actuel, marqué par une augmentation des menaces cyber et une demande accrue pour des solutions de sécurité innovantes et fiables d’origine européennes ».
L’arrivée d’Heimdal devrait pour le moins susciter l’intérêt des MSP et VAR en quête d’une solution qui combine prévention des menaces, antivirus nouvelle génération, gestion des vulnérabilités et contrôle des privilèges utilisateurs, et qui transforme une approche sécuritaire défensive et réactive en un modèle proactif. En outre, la plate-forme Heimdal génère des rapports détaillés, notamment pour faciliter le respect des normes telles que
le RGPD et l’ISO 27001 et d’autres réglementations.
« Ce partenariat vient compléter une gamme de produits déjà riche et variée. Watsoft entretient des coopérations historiques avec des acteurs renommés, comme Kaspersky Labs et N-able. Plus récemment, des collaborations stratégiques avec Netwrix, BlackFog, Riot et Octiga ont renforcé notre expertise dans les domaines de la protection des données, de la gestion des risques et de la résilience opérationnelle. L’introduction d’Heimdal marque un pas de plus vers l’excellence en cybersécurité, réaffirmant notre engagement à offrir aux partenaires des solutions performantes, adaptées aux défis contemporains et accessibles dans un modèle centralisé », souligne le distributeur. |
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EET relaie les sauvegardes d’Oxibox
EET distribue désormais les solutions du français Oxibox, spécialiste de la sauvegarde et opérateur cloud. Pour garantir une immuabilité des données traitées, l’éditeur met à l’œuvre sa technologie air-gapping, qui consiste à isoler physiquement un environnement informatique en le déconnectant de manière logicielle des réseaux externes, y compris d’Internet.
« Grâce à l’arrivée d’Oxibox, nos clients peuvent compléter leurs solutions existantes de cybersécurité, de stockage et de réseau avec une offre de sauvegarde et de restauration de données sécurisées. Notre équipe de vente dédiée est prête à répondre aux besoins des clients et à les aider à développer ce segment en pleine croissance », indique
Richard Grégoire, directeur général EET France.
Oxibox revendique un chiffrement de bout en bout des sauvegardes et une restauration instantanée des données. |
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L’Epson Monna Lisa
ML-16000JQ facilite l’impression du Jacquard
Avec ses 16 têtes d’impression PrecisionCore, sa résolution de 1 200 dpi, sa largeur d’impression de 180 cm et
sa variété de couleurs d’encre « acides, réactives, dispersées et pigmentaires »,
la Monna Lisa ML-16000JQ vise les créateurs de mode qui cherchent à reproduire des motifs complexes à l’aide d’une impression recto verso directe sur des tissus Jacquard. En plus de ses capacités techniques, cette imprimante numérique illustre les avancées du développement durable dans l’industrie textile : toutes les encres sont certifiées Ecopassport et sont conformes aux réglementations telles que GOTS et Bluesign, qui garantissent une moindre nocivité pour l’environnement. Des cartouches haute capacité de 10 litres interchangeables assurent une production fluide.
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Une offre data internationale chez Sewan
En partenariat avec l’opérateur international Webbing, Sewan lance une offre data internationale à destination des flottes mobiles d’entreprise. Elle délivre une connectivité dans 177 pays, tout en optimisant les coûts, en proposant une large couverture réseau, y compris dans de nombreuses zones clés où l’accès aux données est habituellement onéreux telles que les États-Unis, la Chine ou encore l’Australie. En limitant l’accès aux applications récréatives, elle garantit par ailleurs une consommation orientée sur les usages professionnels et préserve des frais de roaming imprévus. L’offre inclut ainsi un forfait de 50 Go exclusivement dédié aux besoins professionnels, tels que l’utilisation d’outils collaboratifs, comme Teams ou Zoom, ou la consultation de réseaux sociaux professionnels. |
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Noémia Domingues,
Channel Manager France, Snom
« Un programme Partenaires ne peut se contenter d’être un simple outil commercial »
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À quoi sert en 2025 un programme Partenaires ?
La création d’un programme Partenaires est incontournable et va permettre de poser un cadre précis. Il ne s’agit pas d’un simple artifice marketing, mais bien d’un dispositif structurant, qui doit prendre en compte la typologie des partenaires concernés qui ont chacun leur spécificité (distributeurs, apporteurs d’affaires, revendeurs, installateurs…). Les partenaires ont des missions et des attentes différentes, et doivent pouvoir bénéficier d’un programme adapté à leurs besoins opérationnels. Un travail de qualification est alors nécessaire pour ne pas tomber à côté de la plaque et proposer un réel outil générateur de productivité pour tous.
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Comment doit être structuré un programme Partenaires idéal ?
Un programme Partenaires ne peut se contenter d’être un simple outil commercial, notamment dans des secteurs de pointe tels que la technologie, qui implique de supporter une démarche à très forte valeur ajoutée, par exemple dans le secteur du B2B. Ainsi, si le programme Partenaires intègre nécessairement un large volet commercial, il doit également prendre en considération un volet formation des équipes, et un angle technique et support pour offrir un dispositif complet aux partenaires. Parmi les différents points composant un programme efficace, on peut citer les outils commerciaux, les labellisations par expertises et niveaux de services, les formations commerciales et techniques, les événements marketing, les roadshows, les services d’avant-vente, les prestations de support technique, l’assistance multilingue.
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Quels sont les pièges à éviter dans la construction d’un tel programme ?
Créer et faire évoluer favorablement une relation partenaire ne peut souffrir d’une absence d’implication du fournisseur. Cela est d’autant plus vrai dans le secteur de l’IT qui est un marché technique à forte valeur ajoutée. La pertinence du programme Partenaires proposé est tout aussi importante que la qualité des offres distribuées et permettra de s’assurer que les distributeurs et revendeurs seront en capacité de maîtriser parfaitement les spécificités des produits et pourront les commercialiser dans les meilleures conditions. Il faut enfin ne pas créer de processus de validation et de gestion trop contraignants et respecter ses engagements. |
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Comment améliorer un programme Partenaires ?
Le fournisseur doit veiller à renouveler régulièrement les avantages proposés, à optimiser la gestion du portail partenaires déployé mais également à faire en sorte que son programme soit accessible au plus grand nombre et évolutif dans les statuts obtenus. Il s’agit donc d’une démarche d’amélioration continue dictée par la qualité de service offerte au partenaire.
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Passation à la direction générale de la Fédération Eben
Après seize ans passés à la tête de la Fédération Eben, la directrice générale, Delphine Cuynet (à gauche sur la photo), entame un nouveau chapitre
de sa carrière. Elle cède sa place
à Cécile Leduc (à droite sur la photo),
qui prend désormais les rênes de la fédération.
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Ilham Djehaïch, première femme présidente d’InfraNum
Le conseil d’administration d’InfraNum a élu à l’unanimité Ilham Djehaïch, directrice générale d’Altitude Infra THD, présidente de la fédération. Elle succède à
Philippe Le Grand. Une élection qui reflète la volonté d’InfraNum de mieux représenter la diversité.(copyright David Morganti)
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Nouvelle gouvernance pour
Check Point Software Technologies
L’éditeur israélien a annoncé la nomination de Gil Shwed au poste
de président exécutif du conseil d’administration, et celle de
Nadav Zafrir (à droite sur la photo aux côtés de Gil Shwed) en tant que nouveau président-directeur général. Avant de créer l’entreprise Team8, Nadav Zafrir a mis en place le cybercommandement de l’armée israélienne.
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Philippe Baracetti à la tête de
la BU Maverick de TD Synnex
Philippe Baracetti prend la direction
de la business unit Maverick, que le distributeur dédie aux solutions audiovisuelles. Rattaché à Bas Scheepens et à Antonin Martinot, il doit apporter son expertise en développement stratégique pour renforcer la position
de Maverick sur le marché. |
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