Fujifilm se lance dans le print sous sa marque
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Si Fujifilm vient d’annoncer son arrivée sur le marché de l’impression, la marque est loin d’être novice dans le domaine. Dans le cadre d’un joint-venture technologique, c’est déjà elle qui fabrique depuis de longues années les produits de Xerox. « En 2019, nous avons même proposé de racheter Xerox mais le deal a été cassé par la première administration Trump. Nous avons finalement repris le joint-venture, et Xerox est devenu un client pour lequel nous fabriquons les produits », explique Joaquim Ventura, directeur général France de Fujifilm Graphic Digital Print. Un client mais aussi un concurrent, car c’est bien sous son propre logo que Fujifilm a annoncé l’arrivée de plusieurs gammes de multifonctions A3 et A4. Ces gammes sont regroupées sous l’appellation Apeos et proposent pour l’heure des volumes de 20 à 70 pages par minute. « C’est une vraie opportunité car le marché du print est encore très actif en France avec plus de 500 000 multifonctions vendus par an. Nous avons 25 % de part de marché sur la zone Asie-Pacifique et 28 % au Japon, donc nous sommes loin de partir de zéro. » Le lancement se fait simultanément en France, en Italie et en Espagne, et d’autres pays européens seront ouverts en 2025. Côté distribution, Fujifilm avance avec prudence en ouvrant pour le moment son catalogue au groupement Etika, qui agira en quelque sorte en tant que grossiste pour ses adhérents. L’autre source annoncée est le distributeur italien Tyche, qui a notamment repris tout le réseau Olivetti et qui est en train de s’implanter France. |
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N-able absorbe Adlumin
Le rachat d’Adlumin par N-able fait suite à un partenariat passé de longue date entre les deux sociétés. « Nos clients nous disent depuis un certain temps que les solutions XDR et MDR cloud native sont essentielles pour sécuriser pleinement leurs environnements IT. Cela a renforcé notre décision de nous associer, puis d’acquérir Adlumin. La demande de nos clients s’est traduite par une forte croissance, et nous avons réalisé que nous pouvions accélérer cette dynamique en internalisant ces technologies », explique John Pagliuca, président et CEO de N-able. Le montant de la transaction s’élève à 250 millions de dollars, et près de 1,5 million d’actions. L’acquisition d’Adlumin renforce l’offre Ecoverse de N-able avec une plate-forme agnostique de sécurité opérationnelle. |
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Euclyde Datacenters devient nLighten France
À la suite du rapprochement d’Euclyde Datacenters avec nLighten en 2023, Euclyde Datacenters devient nLighten France. Au-delà des opérations réalisées à l’échelle nationale au travers des data centers de Sophia-Antipolis, Paris, Lyon, Besançon et Strasbourg, les clients de nLighten France pourront désormais envisager des déploiements dans toute l’Europe en misant sur les infrastructures du groupe en Allemagne, en Espagne, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en Belgique et en Suisse. « Ce rebranding s’inscrit dans notre vision d’apporter les meilleures solutions numériques au plus près de nos clients, en s’appuyant sur la force de nos data centers edge européens pour répondre à la demande croissante », indique Harro Beusker, CEO de nLighten. |
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Mitel CX à l’assaut des centres de contact
Plate-forme CCaaS conçue pour améliorer les processus d’engagement des clients, Mitel CX dispose d’intégrations préétablies avec les applications métier et des API ouvertes. Alimentée par l’IA, elle automatise les flux de travail et s’appuie sur des agents virtuels GenAI qui prennent en charge les demandes répétitives. Un module d’analyse fournit des tableaux de bord, des rapports, de la veille stratégique pour les transcriptions et les enregistrements ainsi qu’une vue globale des données clients. Des suggestions de réponse en temps réel et un coaching fondé sur des bases de connaissances optimisent les taux de résolution. Mitel CX revendique des transitions fluides entre les canaux voix, chat, vidéo et réseaux sociaux. |
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Une clé USB PNY véloce
Avec sa vitesse de lecture allant jusqu’à 1 000 Mo/s et sa vitesse d’écriture allant jusqu’à 800 Mo/s, les hautes performances sont au rendez-vous avec la clé Pro Elite V3 USB 3.2 Gen 2. Le petit périphérique se montre 265 fois plus rapide qu’une clé USB 2.0 standard. Ses capacités de stockage varient de 256 Go à 1 To. Son boîtier en métal noir est robuste, et des composants de première qualité assurent sa fiabilité. L’étui du modèle est constitué d’un porte-clés et d’un capuchon coulissant qui protège le connecteur USB lorsqu’il est rétracté à l’intérieur du boîtier. Pro Elite V3 est compatible avec la plupart des ordinateurs dotés de la technologie USB 3.2 Gen 2, et rétrocompatible avec l’USB 3.2 Gen 1/USB 3.0 et l’USB 2.0. |
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Christophe Lopez-Castel, Director Sales Channel EMEA South, Cato Networks
« Nous sommes considérés comme les inventeurs du concept Sase »
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Pouvez-vous nous présenter Cato Networks ?
La société a été fondée en 2015 avec l’idée de révolutionner la manière dont les entreprises gèrent leur réseau et leur sécurité. Nous sommes considérés comme les inventeurs du concept Sase (secure access service edge). Notre plate-forme cloud convergente simplifie l’administration et la gestion du réseau et de la sécurité dans un monde hybride et multicloud.
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Quelles sont les particularités du marché du Sase en France ?
Le marché français du Sase est en pleine croissance. Cato Networks France a été créée en 2020 et compte aujourd’hui plus de 180 clients. Nous doublons le nombre de clients chaque année. Le marché est dynamique, avec une adoption croissante par les entreprises de toutes tailles.
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Y a-t-il des freins à l’adoption du Sase ?
Les principaux freins sont les réglementations qui limitent l’utilisation du cloud et l’inertie des grandes entreprises qui tardent à intégrer le Sase dans leurs schémas directeurs.
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Qu’est-ce qui distingue Cato Networks des autres acteurs du Sase ?
Nous sommes partis d’une feuille blanche et avons construit notre propre cloud global dès le départ. Notre plate-forme est globale, avec plus de 90 points de présence dans le monde. Nous gérons toutes les ressources de l’entreprise, sans exception. Enfin, nous avons une vision convergée du réseau et de la sécurité.
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Vous avez récemment lancé l’offre MSase (Managed Sase), quelle est cette approche ?
MSase permet à nos partenaires de proposer des services managés à partir de Cato Cloud, et de fournir notamment la plate-forme Sase Cloud Platform plus efficacement à leurs clients. Cela représente une opportunité pour eux de créer de la valeur et de simplifier la gestion du réseau et de la sécurité pour leurs clients. Sase Cloud Platform fonctionne en mode multitenant, elle est donc adaptée aux MSP et combine des fonctions de prévention des menaces, de protection des données et de détection et réponse aux incidents.
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Comment est organisé votre réseau de distribution en France ?
Notre réseau de distribution est 100 % indirect et repose sur un modèle à deux niveaux avec un distributeur et des intégrateurs. Nous travaillons avec des intégrateurs spécialisés dans les infrastructures, le réseau et la sécurité, ainsi qu’avec des opérateurs et des fournisseurs de services managés (MSP).
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Sur quelle infrastructure repose votre plate-forme en France ?
Elle est hébergée sur Cato Cloud, avec deux points de présence en France, à Paris et à Marseille.
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