Microsoft décerne à TD Synnex son prix Excellence opérationnelle
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Le VAD a remporté le prix Excellence opérationnelle 2023 du Partenaire Microsoft de l’année. TD Synnex a également été finaliste dans les catégories « Fournisseur indirect de l’année » et Distributeur partenaire appareils ».
Les 4 200 partenaires candidats sélectionnés dans le monde devaient, entre autres, démontrer comment ils ont contribué à améliorer l’expérience transactionnelle des clients, facilitant ainsi les affaires avec Microsoft.
« Cette reconnaissance témoigne du dévouement et de l’expertise de nos talentueux collaborateurs, qui s’efforcent d’offrir une valeur exceptionnelle à nos clients, comme le prouve notre capacité à appliquer efficacement les changements introduits par Microsoft dans le channel indirect, tels que New Commerce Expérience (NCE) et le lancement du nouveau programme de partenariat Microsoft Cloud », souligne Reza Honarmand, vice-président principal de Global Cloud chez TD Synnex.
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Sewan revoit son image
L’opérateur a changé son identité de marque, qui se matérialise par la création d’un nouveau logo et la refonte de son site internet, mais aussi par la volonté de se positionner sur le marché comme « un écosystème à part entière qui simplifie le cloud et les télécoms pour les entreprises ». Ses objectifs affichés sont d’affirmer la solidité de l’entreprise, d’accentuer son image d’entreprise tech et celle d’opérateur de proximité.
« Notre volonté de mettre en lumière et de valoriser en externe l’innovation existante en interne, à l’image de la transformation progressive de notre plate-forme Sophia, a joué un rôle de déclencheur pour ce travail de repositionnement. Sewan est une entreprise ancrée dans son secteur, sa dernière évolution graphique remonte à 2016. Nous devions modifier notre image pour l’adapter aux nouvelles règles de branding et aux codes de l’univers tech dont nous faisons profondément partie », ajoute Cédric Rittié, directeur produit et marketing chez Sewan.
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Westcoast, lauréat d’un prix Partenaire Microsoft 2023
Westcoast a remporté le prix Device Partner Distributor/Reseller 2023 Microsoft Partner
of the Year. Les candidats ont été sélectionnés en fonction de leur engagement client, de la pertinence de leurs solutions et de leur utilisation des technologies Microsoft.
« Ce prix témoigne des performances exceptionnelles et des réalisations remarquables de Westcoast. Nous souhaitons exprimer notre sincère gratitude à Microsoft pour avoir reconnu notre engagement à fournir des solutions et des services technologiques de pointe. Cette reconnaissance renforce encore la collaboration entre Westcoast et Microsoft. La société souhaite également exprimer sa gratitude à ses clients, à ses fournisseurs et à son personnel dévoué pour leur soutien et leur confiance », indique
Paul Hamilton, directeur de clientèle chez Westcoast. |
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i-PRO renforce son offre de caméras PTZ
Le japonais i-PRO vient de dévoiler
16 caméras PTZ (pan tilt zoom) dont l’intérêt est de fournir une vision panoramique grâce à un zoom motorisé et des capacités d’inclinaison.
Baptisés « Rapid PTZ », les nouveaux modèles renforcent les séries X et S du fabricant.
Les vitesses d’inclinaison et de rotation ( pan jusqu’à 700°/s et tilt jusqu’à 500°/s) assurent une surveillance rapide et précise lors des déplacements de la caméra.
En outre, un dispositif LED infrarouge intégré permet de surveiller une zone allant jusqu’à 250 mètres dans le noir complet. Il est également possible d’identifier et de cibler des personnes ou des véhicules au moyen d’analyses et de suivi automatique basés sur l’IA.
Ces caméras 4K dotées d’un connecteur Ethernet étanche peuvent être installées directement sur des plafonds bas ou sur le bord des toits.
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NinjaOne évolue et annonce un webinaire
Solution RMM dont la cote augmente auprès des MSP, NinjaOne accroît sa polyvalence dans la version 5.3.9 de sa plate-forme en intégrant désormais les alertes en provenance de la solution de cybersécurité SentinelOne.
En parallèle, le tableau de bord de NinjaOne dédié à la sauvegarde propose une meilleure visibilité, à la fois sur les périphériques de stockage de l’infrastructure et sur les services cloud exploités.
Enfin, la gestion des tickets prend maintenant en charge l’authentification SMTP et améliore les règles d’automatisation pour plus d’efficacité. Ces nouvelles fonctions seront évoquées durant une heure lors d’un webinaire consacré à la cybersécurité, qui se déroulera le 18 juillet prochain
à 17 heures.
Pour y participer : shorturl.at/tvL49
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Stanislas de Rémur,
CEO et cofondateur, Oodrive
« Nous devrions prendre en main notre destin numérique »
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Comment définissez-vous la souveraineté numérique ?
Plus que de souveraineté numérique, je préfère parler d’indépendance numérique.
Si on évoque la souveraineté, c’est la capacité d’utiliser des logiciels dont on a la maîtrise, de pouvoir, à un certain moment, changer les règles du jeu lorsque cela est nécessaire. Par exemple, si vous exploitez en France des logiciels américains et que vous souhaitez modifier certaines règles du jeu parce que l’environnement international change, ni la communauté européenne ni votre entreprise n’ont les moyens de le faire. Si, en revanche, vous faites appel à des éditeurs européens ou nationaux, il y a une possibilité de réaliser ces changements.
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Quels sont les obstacles à cette souveraineté ?
Il y a d’abord le volet législatif, qui est quasiment inexistant en Europe, la France faisant figure d’exception avec le SecNumCloud. Aucun cadre ne protège le numérique européen, contrairement aux États-Unis, à la Russie ou à la Chine. Il y a ensuite un manque de volonté politique commune pour faire évoluer les choses. Chaque pays œuvre, ou pas, pour son indépendance numérique, et ceux qui cherchent à atteindre cette indépendance le font avec des entreprises soit européennes, soit américaines, ou chinoises. Enfin, en Europe, il n’y a pas le souhait de bâtir des géants en orientant la commande publique et privée vers des entreprises européennes.
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L’Europe ne fait vraiment rien ?
Il y a beaucoup d’annonces mais peu d’actes. De surcroît, l’Europe tient trop compte de l’avis des non-Européens. Nous devrions prendre en main notre destin numérique et décider par nous-mêmes. La future norme EUCS (European Cybersecurity Certification Scheme for Cloud Services) portée par l’Enisa, et qui inclut un volet sur la souveraineté des données au sein de l’Union européenne, va être très importante. Malgré un lobbying important de la part des États-Unis pour faire en sorte que le niveau de protection le plus élevé de la norme n’exclut pas les sociétés soumises à des lois extraterritoriales, j’ai bon espoir qu’il en ressorte un moyen de privilégier les entreprises européennes.
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De quels atouts votre société peut-elle se prévaloir
dans cette quête de souveraineté ?
Quand on prend en compte les récentes augmentations du prix des solutions des ténors du marché, Microsoft en tête, l’absence d’alternative européenne se fait cruellement sentir. Le métier d’Oodrive permet d’en proposer une à des solutions américaines, en particulier dans les domaines de la signature électronique et du collaboratif, autour du partage de documents. Il existe d’ailleurs des avancées en France, à travers un projet du gouvernement financé par Bpifrance pour développer une suite collaborative de confiance auquel nous participons. Avec Olvid et Tixeo, deux autres acteurs français de la sécurisation des données, nous travaillons depuis septembre 2022 à la création d’une suite collaborative sécurisée et souveraine.
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