Inherent, nouveau nom d’Adista
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Installé près de Nancy, Adista change de raison sociale pour devenir Inherent. Pourquoi cela ? Pour fédérer ses activités et ses marques sous la même bannière, se positionnant en « premier opérateur alternatif B2B de services hébergés sur le marché français ».
Dédié aux entreprises et collectivités, le groupe opère des services de télécommunications, d’infogérance et de cybersécurité pour quelque 50 000 clients. Il s’est constitué au fil de la croissance organique de la société Adista et de rapprochements stratégiques menés depuis 2020 : Fingerprint Technologies, Waycom, Unyc, Cyberprotect, Cyrès et tout dernièrement Equadex.
Un développement soutenu par son principal actionnaire, Keensight Capital, un fonds de capital-investissement dédié aux projets paneuropéens. Le groupe a réalisé un C.A. de 230 M€ sur son dernier exercice fiscal et ambitionne de passer à 500 M€ d’ici à 2026. « Une croissance doit être durable, responsable, maîtrisée. Elle doit voir loin», estime Patrice Bélie, président (photo Vincent Baillais, andia.fr).
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Brother veut encore réduire ses émissions de CO2
Brother revoit à la hausse la réduction de son empreinte carbone, soit -65 % d’ici à 2030, pour atteindre la neutralité en carbone en 2050. Le fabricant japonais mise sur une chaîne d’approvisionnement éthique et des processus commerciaux améliorés pour atteindre ces deux objectifs.
Ses principaux leviers d’actions sont le recyclage et la réutilisation des cartouches, auxquels s’ajoute la mise en place d’une économie circulaire assortie notamment d’un abonnement d’encre et de toner. Ainsi, l’imprimante est garantie tout au long de la souscription, et bénéficie d’une maintenance assurée par l’atelier intégré aux locaux de Brother à Roissy, en liaison avec un réseau de partenaires présents dans tout le pays.
Le constructeur se veut également proactif dans la préservation de la biodiversité et auprès d’associations. A ce titre, il entretient plusieurs partenariats avec des ONG comme Cool Earth aux niveaux international, national et local. « Nous avons déjà réduit de plus de 30 % nos émissions de gaz à effet de serre par rapport à 2015 », indique Sylvie Boisanté, responsable Qualité et développement durable.
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Claranet fait certifier son PIMS
Le spécialiste des services de transformation digitale et d’infogérance d’applications critiques annonce la certification de son PIMS (Privacy Information Management System). Formalisé par la norme ISO 27701, le PIMS est l’ensemble des mesures organisationnelles et techniques permettant d’atteindre les objectifs de protection des données personnelles et de les maintenir dans la durée.
« Nos clients sont sensibilisés à la protection de la vie privée et attendent des engagements forts de tous les acteurs, prestataires et donneurs d’ordre. Nous poursuivons cette démarche dans l’accompagnement de nos clients sur des enjeux majeurs et stratégiques, dont les données personnelles.
Il s’agit d’un investissement majeur réalisé par les équipes Conformité et sécurité au sein de notre groupe en France. Il garantit à nos clients une assurance complémentaire dans l’appréhension des enjeux autour de la donnée personnelle, mais aussi sur la nécessité de piloter et d’intégrer ces démarches dans un cadre structuré, auditable et mesurable », indique Laurent Perriault, directeur dénéral adjoint et COO.
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Espace et luminosité chez Philips
Philips enrichit son offre de moniteurs avec les modèles 40B1U5600 et 40B1U5601H, deux écrans LED d’une diagonale de 40 pouces.
Le premier est certifié DisplayHDR 400 ; le second possède une webcam 5 Mpx intégrée. Tous les deux affichent une résolution UWQHD Crystal Clear (3440 x 1440) sur une dalle IPS, et bénéficient d’un port USB-C pour transférer plus rapidement les données ou accélérer le rechargement de périphériques. En outre, leur commutateur KVM intégré donne la possibilité de contrôler deux ordinateurs distincts depuis le même combo clavier souris.
Enfin, leur capteur PowerSensor réduit automatiquement la luminosité de l’écran dès que l’utilisateur s’en éloigne, générant jusqu’à 75 % d’économie d’énergie, tandis que la luminosité reste en permanence optimale grâce LightSensor, autre capteur qui adapte la luminosité à l’éclairage ambiant.
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Kodak Alaris signe deux scanners compacts
Avec leur taille réduite, les scanners Kodak E1030 et E1040 ciblent les petites et moyennes entreprises, les annexes de bureau, les bureaux d'accueil et les télétravailleurs.
Ces périphériques exploitent un dispositif de double LED et la technologie Perfect Page pour optimiser la qualité des images numérisées. La précision de l’OCR est améliorée par la fonction Dual Link qui élimine les ombres et les imperfections produites lors de la numérisation d'originaux endommagés.
Les deux modèles atteignent la vitesse de 40 ppm et prennent en charge divers formats et grammages de papier. En option, un module de numérisation de passeport et un autre pour la numérisation à plat au format A4 répondent à des besoins spécifiques. Garantis trois ans, ces scanners possèdent un port USB 3.2 et un chargeur automatique de documents de 80 pages.
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Carine Alloul, Compliance Manager, SY by Cegedim
« E-facturation : s’assurer que son prestataire peut devenir une plate-forme de dématérialisation partenaire »
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Qu’implique la prochaine réforme de la facturation électronique ?
Dès le 1er juillet 2024, toutes les entreprises assujetties à la TVA établies en France devront être en capacité de recevoir les factures électroniques B2B. A cette même date, elles seront aussi tenues d’envoyer leurs factures électroniques B2B, mais selon un calendrier de déploiement adapté à leur taille (grande, moyenne ou petite). Les factures B2C et B2B reçues ou émises à l’international devront, elles, faire l’objet d’une déclaration des données de transaction (e-reporting) selon le même calendrier que l’obligation d’e-invoicing.
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Comment une entreprise doit-elle techniquement préparer ce passage ?
D’abord, elle analyse les flux de factures impactés, qu’il s’agisse du nombre de flux entrants et de flux sortants, de leur format papier ou électronique, ou du nombre de clients ou de fournisseurs concernés.
Ensuite, elle s’informe auprès de son prestataire de dématérialisation pour savoir s’il a postulé pour devenir PDP (plate-forme de dématérialisation partenaire), et s’il bénéficiera d’un numéro d’immatriculation d’ici à l’été 2023.
Elle dresse l’inventaire technique de son S.I. pour déterminer comment la réforme va impacter la circulation des données de facturation dans son organisation, et s’assurer qu’elle sera en mesure de produire les formats électroniques attendus par l’administration fiscale. Enfin, elle identifie les processus à valeur ajoutée à mettre en place.
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Comment choisit-on sa plate-forme de dématérialisation partenaire ?
Les prérequis pour faire une demande d’immatriculation de PDP auprès de la DGFIP, ainsi que les obligations techniques et le périmètre de l’audit de conformité ont été publiés au J.O. du 7 octobre 2022. Le décret et l’arrêté fixent tous les contours de la réforme, mais la liste des futurs PDP ne sera officiellement connue qu’au printemps 2023, au moment de l’ouverture des services d’immatriculation.
L’administration fiscale examine pendant un délai maximal de deux mois chaque candidature, puis les prestataires retenus sont enregistrés dans un annuaire centralisé, et disposeront d’un an pour fournir un audit de conformité.
Pour notre part, nos clients savent que nous sommes déjà en ordre de marche pour devenir PDP. En attendant, l’entreprise peut vérifier que son partenaire répond aux prérequis : notamment savoir traiter, générer et envoyer les formats standards UBL, CII et Factur-X ; respecter les dispositions de l’article 32 du RGPD ; être interopérable avec le PPF (Portail public de facturation) et au moins une PDP ; s’engager à respecter les règles du schéma Y qui orchestre la circulation des factures entre les entreprises et l’administration fiscale ; sécuriser l’accès à la plate-forme avec un niveau de garantie substantiel ; être certifié ISO 27001 sur le S.I. gérant l’e-invoicing et l’e-reporting ; et être qualifié SecNumCloud sur la prestation d’hébergement. |
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