Avec son programme Partenaires, Veracode accélère
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Les nouveaux enjeux de sécurité invitent Veracode à mettre à jour son programme de partenariat mondial. Ses partenaires devraient ainsi tenir la distance.
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« Le besoin de vitesse et d'innovation dans le développement de logiciels a introduit de nouvelles complexités et de nouveaux risques pour les entreprises. » C’est ce que constate le CRO de Veracode, Pete Harteveld (voir photo), alors que l’éditeur lance un programme Partenaires fondé justement sur cette nécessité d’accélération. « L'évolution du programme Veracode Velocity offre une voie claire à nos partenaires pour aider les clients à créer des logiciels plus sécurisés à la vitesse à laquelle ils développent leurs activités », ajoute M. Harteveld.
Divisé en trois niveaux, le programme classe les partenaires de l’éditeur spécialisé en sécurité applicative en fonction de leurs performances techniques et commerciales. Tous les partenaires Veracode commencent au niveau Sprint. Ils accèdent à des campagnes marketing ou des programmes à la demande, des formations ou des certifications, et à la communauté des partenaires. Tout le nécessaire pour monter en compétence chez l’éditeur, en somme.
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Les partenaires Momentum obtiennent, selon leurs performances ou leur engagement antérieur, un marketing davantage personnalisé et planifié pour des investissements alignés sur des objectifs fixés en amont. En outre, ils ont un accès prioritaire aux programmes et initiatives d'habilitation. Enfin, la certification Turbo est réservée aux partenaires les plus stratégiques. Ces derniers participent à une planification conjointe de la mise sur le marché avec des revues d'affaires trimestrielles et des programmes exclusifs. Ils accèdent en exclusivité aux produits, programmes, ressources et contenu de Veracode.
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Le centre hospitalier de Corbeil-Essonnes visé par une cyberattaque
Dans la nuit du 20 au 21 août, le centre hospitalier sud francilien a été la cible d’un ransomware. L’hôpital communique que cette attaque a paralysé ses logiciels métier, son stockage (notamment d’imagerie médicale), et le SI des admissions. La rançon de 10 M$ (AFP) exigée serait en cours de négociation par le GIGN, tandis qu’« aucun établissement hospitalier n'a payé, et ne paiera ce genre de rançon », assurait Gilles Calmes, directeur de l'établissement, sur franceinfo.
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Fujitsu étend son offre uScale à ses partenaires Select
Le service d’infrastructure as a Service uScale de Fujitsu devient accessible à ses partenaires de distribution de niveau Select. Les fournisseurs de services proposent ainsi des infrastructures cloud flexibles à leurs clients, via une facturation mensuelle basée sur la consommation. Mais les Select qui ne souhaitent pas ou ne prennent pas en charge la gestion IaaS, opéreront éventuellement en apporteurs d’affaires auprès de Fujitsu.
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AOC V5 : une série de moniteurs USB-C pour les freelance
Déclinée en diagonales de 24, 27 ou 31 pouces, la cinquième série de moniteurs AOC est composée de six modèles, adaptés à un usage domestique, pour les TPE et les travailleurs et travailleuses indépendantes. La série complète est équipée d’un hub USB 3.2 à quatre ports, ainsi qu’un USB-C à puissance de charge de 65 W. À 75 Hz, les V5 vont au-delà des fréquences des écrans traditionnels. Tous les modèles intègrent une dalle IPS, sauf le Q32V5CE (à 31 pouces), doté d’une dalle VA. Les tarifs vont de 215,20 € HT à 319,20 € HT.
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PNY présente le SSD portable Elite X-PRO
De 500 Go à 4 To, les modèles SSD portables PNY Elite X-PRO veulent allier performance et facilité de déplacement : le boîtier en aluminium tient dans la paume d’une main. L’interface USB 3.2 Gen 2x2 Type-C autorise des transferts plus rapides : jusqu'à 1 600 Mo/s en lecture et 1 500 Mo/s en écriture. Des câbles USB Type-C à C, et USB Type-C à A sont fournis. Le logiciel de protection des données Acronis True Image est aussi inclus avec chacun des modèles. Tous sont disponibles auprès du réseau de distribution de PNY, entre 65,99 $ et 499,99 $.
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Ulrick Parfum, Raja
« Le papier est au cœur de nos développements »
Raja, acteur de la distribution B2B en Europe sur l’emballage, le mobilier de bureau, l’hygiène, l'entretien et la protection individuelle, mais aussi des équipements industriels et retail, est à l’origine de plusieurs initiatives écologiques. Ulrick Parfum, son directeur des achats et marketing produits, explique comment rendre les emballages durables.
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Vous avez lancé un film étirable de palettisation 100 % papier, en 2021. Pouvez-vous nous rappeler comment est née cette initiative ?
Nous avons codéveloppé ce film étirable avec un partenaire fabricant pendant plus d’un an. C’est un produit assez unique sur le marché puisque la majorité des protections de marchandises sur palettes est issue de la pétrochimie. Nous cherchions donc à établir un cahier des charges pour un produit biosourcé. Le papier est au cœur de nos développements : nous proposons déjà des pochettes matelassées, du papier-bulles ou des adhésifs en papier 100 % recyclé. Nous voulions donc que le papier soit étirable comme un film plastique, afin de protéger les marchandises de façon similaire, subir plusieurs cycles d’expédition, etc.
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Quelles ont été vos démarches pour commercialiser ce film ?
Nous l’avons d’abord testé en interne et avec certains de nos gros clients. Il a fallu aussi s’assurer de la viabilité économique de ce produit. Le plastique est moins cher et est produit industriellement depuis des décennies, il fallait que nos clients et nous-mêmes, nous nous y retrouvions financièrement. Pour le lancement, nous avons ainsi travaillé sur des marges très réduites pour nous et notre fabricant. La rentabilité est mesurée mais bien là. Et il s’agit d’un réel succès commercial auprès de nos premiers clients en France et Europe, qui le recommandent, nous permettant de fidéliser la clientèle.
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Le papier est, certes, davantage recyclable que le plastique, mais son utilisation massive amène à abattre des arbres, etc. Avez-vous une politique pour contrebalancer cette consommation assez massive de papier ?
D’une part, pour fabriquer nos emballages, nous utilisons majoritairement des papiers recyclés ou des chutes de production, donc notre activité entraîne peu de coupes d’arbres. D’autre part, nous n’utilisons que des papiers écocertifiés : issus de forêts gérées durablement, où l’engagement est pris de replanter des arbres après leur entrée dans un cycle de production. Nous entretenons enfin des liens très forts avec des organismes internationaux comme FSC et PEFC qui certifient nos emballages, ainsi que d’autres certifications, dont l’ISO 14001 et le niveau Silver chez Ecovadis.
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Aric Ault promu responsable channel EMEA chez Infoblox. Jusqu’ici directeur principal des ventes pour l’Europe du nord, il développera désormais les ventes indirectes de l’éditeur de services de gestion et de sécurité DNS sur un secteur plus étendu.
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Michaela LeBlanc Weber devient VP des partenariats de Mollie. Elle devra déployer un réseau de partenaires adressant les petits et moyens e-commerçants qui leur fourniront les outils SaaS de ce prestataire de services de paiement.
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Olivier Nollent prend la direction générale de SAP France ? Pas entièrement car son titre - managing director - dénote avec celui de Frédéric Chauviré, remercié début 2022. M. Nollent occupe pourtant une bonne partie des missions de ce dernier. Autre surprise, le managing director reporte désormais au président nord EMEA, Rohit Nagarajan.
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Patrick Samama confirmé à la tête de Saagie. Arrivé chez l’éditeur français en mai dernier, son entrée en fonction s’inscrit dans un renforcement de l’équipe de direction afin de renforcer l’activité de la société autour de la DataOps.
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