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BUSINESS - SOLUTIONS - INTERVIEW - CARRIÈRES

BUSINESS

Rapport 2021 de la Cnil : une campagne inédite de contrôle des cookies

Dans son rapport d’activité 2021, la Cnil revient sur les milliers de plaintes qu’elle a traitées. Parmi elles, un accent particulier a été mis sur la mise en conformité des entreprises en matière de cookies.
En 2021, la Cnil a reçu 14 143 plaintes et en a clôturé 12 522. Elle a procédé à 384 contrôles, dont 135 ont conduit à des mises en demeure et 18 à des sanctions. Ces dernières prennent souvent la forme d’amendes, dont le montant cumulé dépasse les 214 M€, en augmentation de 55 % par rapport à 2020.
Sur 135 mises en demeure, 89 ont porté sur les cookies, l’une des thématiques prioritaires fixées par la Commission en 2021. « L’an dernier, nous avions posé un cadre clair, accompagné, et donné du temps à la mise en conformité [six mois, NDLR]. En 2021, les pratiques non conformes ont été sanctionnées, afin de garantir que chaque utilisateur de site web est en mesure d’effectuer un choix réel et éclairé quant à la collecte de ses données en ligne », Marie-Laure Denis, présidente de la Cnil.
Brico Privé et Le Figaro à l’amende
Ainsi, 92 sites web ont été contrôlés en 2021 : 43 % relevaient du domaine du commerce, 12 % du transport, 7 % des loisirs, comme pour les services publics, etc. Cette campagne de contrôles inédite a permis de révéler de nombreuses pratiques non conformes, et amené à des sanctions. Brico Privé, qui déposait automatiquement plusieurs cookies sur le terminal de la personne avant toute action de sa part, a ainsi écopé d’une amende de 500 K€. De même, la Société du Figaro a dû payer 50 K€ en déposant des cookies publicitaires sans consentement des internautes. Google et Facebook Ireland Limited ne sont pas en reste avec respectivement 150 M€ et 60 M€ d’amendes.
Parmi les autres plaintes reçues par la Commission en 2021 figurent les violations de données : plus de 5 000 notifications sont comptabilisées, soit un bond de 79 % par rapport à 2020. Une dernière thématique prioritaire pour l’autorité était la sécurité des données de santé. Ont donc été menées 30 nouvelles missions de contrôle dans ce domaine, menant par exemple, à la mise en demeure la société Francetest de sécuriser les données de santé qu’elle collecte pour des pharmacies qui réalisent des tests de dépistage de la Covid-19.
Le Club de la sécurité de l'information français (Clusif) a tenu son assemblée générale début mai. L’occasion d’élire son nouveau président : Benoît Fuzeau. « C'est un moment charnière pour le Clusif qui est en cours de reconnaissance d'utilité publique et emménage au Campus Cyber à la Défense », explique le RSSI de la Casden Banque Populaire. Jean-Marc Grémy, président sortant, devient vice-président. La nouvelle équipe se donne un objectif de modernisation. Le conseil d'administration est composé de 18 membres, dont quatre nouvellement élus : Stéphane Calé (Renault), Eric Egéa (NTT France), Afaf Fafi (Banque de France) et Nicolas Vielliard (Danone).

Vulcan Cyber fait irruption en France

Éditeur israélien spécialiste de la gestion des risques en cybersécurité, Vulcan Cyber ouvre des bureaux dont il confie la direction à Frédéric Saulet, Head of EMEA Sales. « Il est nécessaire de revenir aux fondamentaux de la cybersécurité, c’est-à-dire la remédiation et la priorisation des réponses afin de se prémunir des incidents, indique-t-il. C’est ce que fait Vulcan Cyber qualifiable de chaînon manquant entre l’identification du risque et sa remédiation, tout en orchestrant et automatisant la captation d’information. »

SOLUTIONS

Trend Micro One, la plate-forme cyber qui en intègre d’autres

Avec la Trend Micro One, l’éditeur japonais propose une console tout en un pour comprendre et gérer les risques cyber en entreprise. Comme ces dernières utilisent une multitude d’applications pour se protéger, Trend Micro a intégré une dizaine de solutions tierces pilotables depuis sa plate-forme, dont celles de Google Cloud, Microsoft, Okta, Palo Alto Networks, ServiceNow, Slack, Splunk,Tenable, etc. Ainsi, Trend Micro One permet d’explorer la surface d'attaque dans les environnements clients ; d’évaluer l'exposition aux risques, l'état des vulnérabilités, etc. ; d’assurer des contrôles préventifs et remédier aux attaques.

La barre vidéo Expand Vision 5 multicertifiée pour les visios

Conçue par Epos, la barre vidéo Expand Vision 5 est dotée de deux haut-parleurs puissants, d’une caméra 4K grand angle et de quatre micros antibruit. Lors des visioconférences, la technologie de cadrage reposant sur des algorithmes de computer vision détecte le locuteur. L’appareil sera installé rapidement puis mis à jour à distance. Il est certifié Microsoft Teams, Zoom et RingCentral. La barre se connecte via USB à tout type d’ordinateur. L’Expand Vision 5 est disponible auprès de tous les revendeurs d’Epos au prix public de 1 999 €.

INTERVIEW

Pascal Grenard, Sharp France

« Des revenus récurrents pour passer les vagues »


Par la présentation des nouveaux produits à ses partenaires le 19 mai à Paris, Sharp cherche à réunir les conditions pour que son réseau diversifie ses activités print. Pascal Grenard, directeur des ventes indirectes de Sharp en France, revient sur l’activité du fournisseur au cours de ces deux dernières années.
 Quel bilan dressez-vous de ces deux années au contexte compliqué, entre Covid-19, pénurie de composants et situation géopolitique tendue ? 
Sur notre environnement de revendeurs, pour les achats de consommables, nous sommes revenus à notre niveau de 2019. C’est un bon indicateur de la résilience des revendeurs. Leur agilité dans la gestion des contrats leur a souvent apporté une meilleure rentabilité. C’est la force de notre business model dans le monde du print, où les revenus récurrents font passer les vagues. Grâce aux filières d’approvisionnement de notre maison mère Foxconn, nous avons continué à livrer alors que plus personne ne le faisait. Et privilégier le matériel A3 par rapport au A4 a fait économiser des composants et livrer plus de clients.
 On a senti un bouleversement des pratiques d’impression pendant cette période. Un moment d’arrêt quasi total, puis une reprise avec des achats massifs d’imprimantes personnelles auxquels s’est greffé la démocratisation du télétravail. Comment vous êtes-vous adaptés ? 
Le télétravail est souvent mis en place pour les personnes qui n’ont pas un gros besoin d’impression. Les services administratifs impriment de moins en moins, les factures sont davantage dématérialisées. Donc chez Sharp, on privilégie la mise en place d’outils de partage pour échanger ces documents plus facilement. Les imprimantes personnelles, tout le monde en est revenu à cause du prix des consommables. De plus, nos solutions permettent d’envoyer des flux de documents au bureau pour les imprimer plus tard, et ainsi optimiser les impressions pour éviter le gâchis.
 Sharp concrétise l’absorption de NEC, rachetée en 2020. Comment cela se traduit-il au niveau channel ? 
Côté produits, tout sera rassemblé dans un seul catalogue proposé aux revendeurs. Les produits similaires se croiseront dans les nouvelles roadmap, en privilégiant toujours le meilleur des deux mondes. Sur la gestion des partenaires aussi, la complémentarité est là. La force de NEC, ce sont les VAR et les intégrateurs. Notre réseau est beaucoup plus large mais ce sont des bureauticiens qui sont prêts à pousser toutes les solutions, jusqu’au LED. On dit toujours que, lors d’une fusion, il y a quatre phases : forming, storming, norming et performing. Nous nous situons dans la troisième étape. Tout se clarifie, nous savons qui fait quoi, comment tout cela va s’organiser, ce qu’on va distribuer, etc.

CARRIÈRES

NOMINATIONS

Golem.ai confirme Bruno Laborie comme Head of Partnerships. Entré chez la deeptech en janvier 2022, il doit constituer un réseau de partenaires pour développer les ventes de la solution en France et en Europe. M. Laborie doit aussi créer un programme partenaires.
Alexa Lacroix devient VP EMEA sud d’Amplitude. Son périmètre englobe l’Europe du sud, le Moyen-Orient, l’Afrique. Et la France, où l’éditeur vient d’ouvrir des bureaux. Mme Lacroix devra enrichir le portefeuille clients de la société. Auparavant, elle exerçait chez ServiceNow.
Hervé Berrebi devient D.G. adjoint d’Elit-Technologies. Il devra renforcer le développement national du MSP, accélérer sa digitalisation et développer les offres de cybersécurité tout en structurant les différents services. Il était depuis deux ans directeur channel de Port Designs.
Pascal Pierrot rejoint Nutanix comme Enterprise Account Manager pour le secteur public. Sa mission tient en quatre axes : gagner des clients, augmenter les parts de marché, accroître la satisfaction des clients et maximiser la valeur ajoutée apportée par la plate-forme Nutanix.

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