Microsoft veut former 10 000 personnes en cybersécurité en France en trois ans
|
|
|
Alors que 15 000 postes sont à pourvoir en cybersécurité rien qu’en France, Microsoft s’engage à y former 10 000 personnes d’ici à 2025.
|
|
|
Nom de code : Plan Compétences Cybersécurité. C’est ainsi que Microsoft compte contribuer à résorber la pénurie de talents en cybersécurité dans les entreprises. D’ici à 2025, l’éditeur souhaite former 10 000 personnes dans le secteur en France. « Je suis convaincue du potentiel de notre engagement aux côtés de partenaires experts, et il faut que toutes celles et ceux qui souhaitent embrasser une carrière dans la cybersécurité, réalisent leur projet, quel que soit leur profil », espère Corine de Bilbao, présidente de Microsoft France.
Il s’agit, d’une part, de sensibiliser aux divers métiers de la cybersécurité et aux bonnes pratiques grâce à un kit pédagogique destiné aux lycéens et lycéennes. Et d’autre part, évidemment, de former. En cursus initial, la firme de Redmond est partenaire de plusieurs écoles d’ingénieurs et de l’enseignement supérieur depuis 2018. Un mooc Cybersécurité défensive en environnement Microsoft est notamment accessible dans une dizaine de cursus.
|
|
|
Mais la formation est aussi nécessaire aux professionnels en poste. Microsoft a mis en place des programmes de mise à niveau et de certification en continu, notamment via son Entreprise Skills Initiative ou son Cybersecurity Institute. L’objectif pour les équipes est de posséder des compétences à jour dans un monde en perpétuel mouvement. Et pour les personnes cherchant à se réorienter ou en recherche d’emploi, le partenariat entre l’éditeur et l’entreprise de formation Simplon fournit une formation aux bases de la cybersécurité destinée à une centaine de personnes, dont une vingtaine seront sélectionnées pour poursuivre l’apprentissage pendant trois mois. À la clé un titre RNCP niveau 6 (Bac +2/3) en administration d’infrastructures sécurisées.
|
|
Prianto référence l’offre cybersécurité de Cyfirma
Le VAD Prianto ajoute à son catalogue les deux solutions de Cyfirma. Le distributeur ajoute ainsi DeCYFIR, une plate-forme de détection des vulnérabilités, de surveillance des marques, de connaissance de la situation et opérant une protection contre le risque numérique. Autre produit de Cyfirma intégré chez Prianto, DeTCT, dédiée à la surveillance des vecteurs d'attaque potentiels, des fuites et violations de données. L’outil sert aussi à protéger la marque en détectant les atteintes aux droits d'auteur et les usurpations d'identité.
|
|
Des composants AMD dans le premier supercalculateur à franchir l’exascale
Début juin, le superordinateur Frontier de l’Oak Ridge National Laboratory a été placé en tête du Top500 et du Green500 pour ses performances de 1,102 exaflops et son efficacité énergétique de 62,68 gigaflops/watt. « Notre collaboration avec AMD a été essentielle pour déployer la meilleure plate-forme au monde pour le calcul scientifique », indique Bronson Messer, directeur scientifique de l'Oak Ridge Leadership Computing Facility. Frontier exploite en effet les performances combinées des processeurs Epyc améliorés, des accélérateurs Instinct, ainsi qu'une plate-forme logicielle ouverte ROCm 5 du fabricant.
|
|
|
Fujitsu ajoute la série E5 à sa gamme de PC portables Lifebook
Plus fins, plus légers, mieux équipés. Les PC Lifebook E5 de Fujitsu embarquent les puces Intel Core de XIIe génération ou AMD Ryzen 5000U et des GPU Intel Iris Xe ou AMD Radeon. Les deux modèles (14 ou 15 pouces) sont dotés d'une mémoire DDR4 (2x DIMM) capables d’atteindre 64 Go. Des options de connectivité pour tous les environnements de travail sont proposées : WiFi 6E, Bluetooth 5.1 ou WWAN 5G/4G/LTE. Deux autres modèles ultralégers sont aussi disponibles pour les industries manifestant des besoins autour du cloud.
|
|
TSC sort une version 4 pouces de sa série d’imprimantes RFID Alpha
L’Alpha-40L RFID complète la gamme d’imprimantes de TSC Printonix Auto ID. Capable d'imprimer et d’encoder des étiquettes RFID partout, ce modèle à impression thermique directe peut aussi produire des codes 1D ou 2D, et des étiquettes standard. La largeur d'impression s’étend à 104 mm, assortie d’une résolution à 203 dpi et d’une vitesse maxi de 127 mm/s. Le logiciel intégré prend en charge les progiciels SDK pour WindowsTM, WindowsTM Mobile (WinCE), AndroidTM et iOS. L'Alpha-40L RFID dispose d’une batterie li-ion rechargeable 7,4V DC 6 200mAh.
|
|
Bruno Laborie, Golem.ai
« Centrer le déploiement de notre solution I.A. sur les partenaires »
Afin de développer son activité et de confier l’intégration de sa solution à des experts métiers, Golem.ai déploie un réseau de partenariat. À sa tête, Bruno Laborie, qui nous explique comment il a construit sa stratégie.
|
|
|
|
Présentez-nous votre entreprise et sa solution.
Golem.ai est une startup française qui a commencé à commercialiser sa solution en 2019. Nous rassemblons 45 personnes au sein de cette deep tech qui automatise le traitement des documents non structurés (dont des messages, e-mails, etc.) grâce à l’intelligence artificielle. Mais contrairement aux algorithmes de machine learning traditionnels, celui de Golem.ai se fonde sur des travaux linguistiques universels. On compte 24 langues implémentées, et l’apprentissage métier se fera par des configurations préalables.
|
|
|
Comment votre algorithme est-il intégré à l’environnement IT de vos clients, s’il n’est pas entraîné par du machine learning ?
Nous travaillons en gestion de projet. Des ateliers sont organisés avec le client pour comprendre son besoin et comment il veut capturer les informations. Rien à voir, en termes de temps, avec six mois d’entraînement d’un modèle de machine learning. C’est là qu’arrive la stratégie de partenariats. Avec une I.A. de type machine learning, c’est le client qui doit taguer ses documents. Ici, les partenaires connaissent déjà bien le métier du client et configurent la solution pour lui. C’est, de fait, une solution intéressante pour les partenaires bien placés pour apporter du service.
|
|
|
Parlez-nous donc de cette stratégie channel que vous développez.
Nous comptons trois partenaires actifs, et cinq autres seront signés bientôt. L’objectif, à horizon fin 2024, est que les partenaires apportent ou réalisent 50 % des affaires de Golem.ai. Nous avons ouvert un programme très orienté sur la formation avec mise à disposition de leads et de ressources marketing. Nous proposons aussi des événements en comarketing. Le réseau, encore en construction, n’implique pas encore d’exigence spécifique pour l’intégrer. Cela viendra, mais nous commençons par une phase d’acculturation sur la technologie.
|
|
|
|
Hervé Laurandin devient directeur d’Abbyy France. Il doit poursuivre la croissance de l’éditeur en acquérant des clients, particulièrement des grands comptes, ce pourquoi il a d’abord exercé pendant quelques mois au sein d’Abbyy.
|
|
|
Hélène Bouvier rejoint l’entité Conseil de Devoteam. En tant que partner, elle sera responsable des offres Process efficiency & Enterprise service management pour la France. Elle arrive d’Accenture Strategy & Consulting, où elle a évolué pendant seize ans.
|
|
|
|
Rainer Stiller prend la tête du marketing de Vertiv. Jusqu’alors VP de l’activité, il poursuivra son action pour améliorer l’expérience marketing numérique du fabricant d’infrastructures IT sensibles. M. Stiller compte plus de vingt ans de métier, notamment chez Schneider Electric.
|
|
Pablo Martínez Díaz promu responsable Marketing de l’offre edge computing de Lexmark. Il participe au développement de la nouvelle gamme de solutions IoT du fabricant au niveau mondial, centrée autour de sa plate-forme Optra.
|
|
OFFRES D'EMPLOI
en partenariat avec
 |
|
|
Merci d'avoir lu cette newsletter, n'hésitez pas à partager le formulaire d'inscription avec votre réseau. À la semaine prochaine !
|
|
|
|
![](https://www.edi-mag.fr/wp-content/uploads/2021/02/Danitis_Prospect3_1068X132.gif")
