Pat Gelsinger quitte VMware pour la direction générale d’Intel
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Sans crier gare, Intel annonce l’arrivée de Pat Gelsinger à sa direction générale, le 15 février. Cela faisait neuf ans que ce dernier était à la tête de VMware.
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C’est un retour au bercail plus qu’inattendu qui marque ce début d’année. CEO emblématique de VMware depuis 2012, Pat Gelsinger quitte ses fonctions pour remplacer Robert Swan à la tête d’Intel, à partir du 15 février 2021. « Après mûre réflexion, le conseil d'administration a conclu que le moment était venu de procéder à ce changement de direction pour tirer parti de l'expertise de Pat en matière de technologie et d'ingénierie, pendant cette période critique de transformation chez Intel », a déclaré Omar Ishrak, président du conseil d’administration du fondeur, dans un communiqué. L’entreprise a, en effet, perdu des parts de marché au profit de son concurrent AMD, au cours de sa dernière année fiscale. Et la direction prise par Robert Swan depuis deux ans ne faisait pas l’unanimité au sein du groupe.
C’est ainsi un retour aux sources pour Pat Gelsinger, qui avait quitté Intel en 2009, après trente ans de bons et loyaux services. Alors CTO du fabricant de processeurs, il avait rejoint EMC grâce auquel il avait pris la direction de VMware, l’un des pionniers de la virtualisation. Ce dernier se retrouve en fâcheuse posture. Après le départ de son COO, Rajiv Ramaswami, fin 2020, c’est au tour de son leader charismatique de se retirer. L’éditeur a lancé un processus de recrutement et placé Zane Rowe, son actuel CFO, à la direction par intérim. L’année 2021 commence à peine, que le mercato de l’IT tourne à plein régime.
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Ingram Micro lance quatre lignes de Professional Services
Afin d’accompagner davantage ses revendeurs les plus modestes ou des clients finaux, Ingram Micro développe quatre lignes de services professionnels, et recrute une équipe dédiée. Pilotée par Frédéric Cetlin en France, cette unité sera composée d’une vingtaine de personnes d’ici à la fin de l’année, et opérera sur les quatre offres créées en EMEA par le grossiste. Déjà, un groupe Conseil technologique est consultable en amont pour la gestion de projet, l’optimisation de processus, etc. Ensuite, une ligne Expertise intervient pour la mise en œuvre technique d’un projet (PoC, intégration, RPA, etc.). Puis, un pôle Formation accompagne les partenaires dans l’obtention de leurs certifications. Ces parcours sont, pour l'instant, centrés sur la cybersécurit&eacutxe; mais « le scope sera élargi, à moyen ou à long terme », promet M. Cetlin. Enfin, ces trois premières lignes disponibles en France seront complétées par la branche Flexible Services qui rassemble les services managés (opération de réseau LAN, WiFi, firewall, gestion logistique, etc.), et sera opérationnelle dans l’Hexagone, plus tard dans l’année.
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ACTN référence la plate-forme Cloudya de NFON en France
Alors que son catalogue comprend plusieurs fournisseurs IPBX (Grandstream, Vodia, Bicom), ACTN compte sur NFON pour la téléphonie dans le cloud. Le grossiste occitan a référencé la solution Cloudya du fournisseur allemand. Le distributeur accomplit ainsi un pas de plus vers une offre plus flexible. « Les entreprises ne veulent plus investir dans des technologies obsolètes ou rigides. Elles adoptent d'abord la VoIP, puis elles passent au cloud pour en exploiter les avantages dans leur téléphonie », explique Jean-Christophe Pena, P.-D.G. d'ACTN. Les quelque 12 000 revendeurs français du distributeur ont accès à l’offre de NFON via sa marketplace.
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Microsoft injecte les puces Rocket Lake d’Intel à ses Surface Pro 7+
Avant le déploiement tant attendu du Surface Hub 2S, Microsoft ouvre 2021 avec une version enrichie de la Surface Pro 7. Le principal atout de la version 7+ est l’arrivée de la 11e génération de puce Intel Core i3, i5 ou i7, promettant une vitesse de calcul multipliée par 2,1. Les utilisateurs auront aussi le choix entre une version WiFi (jusqu’à 32 Go de RAM et 1 To de stockage) ou 4G LTE (jusqu’à 16 Go de mémoire et 256 Go de stockage). La puissance et le réseau ont un prix : à partir de 823,20 € HT tandis que la Surface Pro 7 est vendue à 647,20 € HT.
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Les ThinkReality A3, premières lunettes AR de Lenovo pour les pros
Le CES approchant, Lenovo présente sa version des lunettes de réalité augmentée. Les ThinkReality A3 sont alimentées par un Qualcomm Snapdragon XR1 et équipées d'écrans stéréoscopiques 1080p. Une édition PC de ces lunettes ajoute jusqu’à cinq écrans virtuels au champ de vision des utilisateurs au bureau. L'édition industrielle des ThinkReality A3 se connecte à certains smartphones Motorola pour un usage mains-libres en usine pour de l’assistance à distance. Pas de prix révélé, mais une disponibilité dans certains pays à partir de mai 2021.
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MICHAËL ALBALA
« La demande mondiale sur la mobilité a augmenté de plus de 70 % »
Arrivé chez HP il y a vingt ans comme chargé du compte de Kering (PPR à l’époque), Michael Albala a gravi les échelons, et dirige aujourd’hui le channel du fabricant de PC et imprimantes en France. Ce dernier est composé de plus de 5 000 partenaires sur le territoire.
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Comment l’année qui vient de s’écouler a-t-elle transformé les marchés adressés par HP ?
La demande sur le marché de la mobilité a explosé. On mesure une croissance entre 70 % et 75 % que personne n’avait anticipée, et il faut parvenir à aligner à la fois la production et la supply chain. Il reste encore des problèmes d’approvisionnement, notamment à cause de produits comme les consoles de jeu qui utilisent des composants identiques aux portables, mais nous devrions recouvrer l’équilibre entre la demande et l’offre d’ici à deux ou trois mois. En impression aussi le marché s’est transformé. Nous avons bien sûr constaté une forte accélération des ventes sur les imprimantes personnelles, mais je souligne aussi que sur notre premier trimestre fiscal [ndlr : qui se termine fin janvier 2021], les modèles A3 retrouvent des volumes proches de ceux de l’année dernière. Nous profitons aussi pleinement de notre offre InstantInk qui, selon moi, est le plus beau business model que HP ait inventé.
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Qu’en est-il du nouveau programme partenaires Amplify lancé il y a quelques mois ?
Tous les partenaires critiques ont rejoint le programme, et nous avons réussi à faire le partage souhaité entre la catégorie Synergy qui suit une approche plus traditionnelle, et Power qui investit et développe du service autour de nos produits. Cette dernière représente 70 % de notre C.A. La prochaine étape consistera à proposer une version spécifique d’Amplify pour le retail, ce qui devrait arriver en mai 2021, ainsi qu’à nos grossistes, car leur rôle doit évoluer avec, là aussi, beaucoup plus de services.
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Quelles tendances voyez-vous se dessiner chez les revendeurs ?
La part des services doit augmenter, c’est une nécessité. Nous avons d’ailleurs donné un coup d’accélérateur sur les offres DaaS sur lesquelles un nombre croissant de partenaires se positionnent. Les revendeurs doivent aussi prendre en compte les nouveaux modes opératoires en entreprise, et notamment l’utilisation massive du télétravail et de la mobilité. Mais tous les services qu’ils proposent doivent impérativement être liés à des outils de sécurité performants car les risques augmentent en conséquence. Enfin, je leur conseille de mettre en place des sites marchands car, depuis la pandémie, les ventes online B2B ont doublé et atteignent quasiment 14 %.
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Nutanix accueille Rob Tribe au poste de VP Systems Engineering EMEA. Dans ce rôle, il supervisera les équipes avant-vente, techniques et channel de l’éditeur. Il remplace Sylvain Siou, qui a quitté l'entreprise pour rejoindre EfficientIP.
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Amaya Rogers prend la direction Europe du sud d'Armor Print Solutions. Le fournisseur de services d’impression nantais souhaite renforcer sa présence à l’international « dans un contexte de marché fragilisé par les entreprises chinoises », et a également nommé David Hamblen directeur Royaume-Uni, Irlande et Europe du nord.
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Bertrand Trastour promu à la tête de Kaspersky France. Jusqu’ici Head of B2B Sales de l’éditeur spécialiste en cybersécurité, il remplace Tanguy de Coatpont, qui gravit lui aussi les échelons et devient directeur général Europe du sud.
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Le conseil d'administration de Forcepoint nomme Manny Rivelo au poste de CEO. Cela après le rachat du spécialiste en cybersécurité par le fonds d’investissement Francisco Partners, où travaillait M. Rivelo. Naturellement, ce dernier s’entoure de trois cadres qui rejoignent le comex de Forcepoint.
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